Le constat est amer. La Côte d’Ivoire enregistre depuis une semaine un nombre trop élevé de cas de contaminations de la COVID-19. La vraie raison de cette situation, c’est que le gouvernement a baissé la garde. Conséquence, la riposte sanitaire a été fragilisée. Pourtant, au début de la pandémie, le gouvernement a largement communiqué sur la maladie. Après cette large sensibilisation à travers tout le pays, devrait suivre la répression dans la mesure où les comportements, malgré les efforts du gouvernement, n’ont véritablement pas changé dans certains quartiers. La preuve, la situation a positivement changé à Cocody et Marcory.
Ces deux (02) communes, aujourd’hui, ne sont plus les épicentres de la maladie tout simplement parce que les populations ont respecté les instructions du gouvernement. Par contre dans certains quartiers comme Yopougon et Abobo notamment où il y a eu un relâchement, le taux de contaminations est beaucoup plus élevé. Ce que le gouvernement doit faire, c’est de passer rapidement à la phase de répression. Parce qu’il est inadmissible que des personnes se promènent sans cache-nez sans qu’elles ne soient interpellées. Au début de la crise, la police s’est déployée sur les routes pour sanctionner les contrevenants. Aujourd’hui, plus rien. Les passagers portent rarement les masques. Des chauffeurs, quand ils en ont, ce sont des masques qui datent de plusieurs semaines et moins efficaces à la lutte. Et ils ne sont nullement inquiétés. Dans les maquis, les marchés, les grandes gares SOTRA, c’est partout la violation des mesures barrières et rien n’est fait.
JEAN PRISCA & DJE KM
Ces deux (02) communes, aujourd’hui, ne sont plus les épicentres de la maladie tout simplement parce que les populations ont respecté les instructions du gouvernement. Par contre dans certains quartiers comme Yopougon et Abobo notamment où il y a eu un relâchement, le taux de contaminations est beaucoup plus élevé. Ce que le gouvernement doit faire, c’est de passer rapidement à la phase de répression. Parce qu’il est inadmissible que des personnes se promènent sans cache-nez sans qu’elles ne soient interpellées. Au début de la crise, la police s’est déployée sur les routes pour sanctionner les contrevenants. Aujourd’hui, plus rien. Les passagers portent rarement les masques. Des chauffeurs, quand ils en ont, ce sont des masques qui datent de plusieurs semaines et moins efficaces à la lutte. Et ils ne sont nullement inquiétés. Dans les maquis, les marchés, les grandes gares SOTRA, c’est partout la violation des mesures barrières et rien n’est fait.
JEAN PRISCA & DJE KM