Un sommet mondial s'est conclu jeudi sur un appel lancé par les dirigeants mondiaux y participant en faveur d'efforts internationaux destinés à assurer la disponibilité des futurs vaccins contre le nouveau coronavirus à toute personne dans le besoin partout dans le monde.
Ce sommet, qui a réuni par visioconférence les dirigeants de plus de 30 pays et organisations internationales, dont l'ONU et l'OMS, a constitué un événement indispensable pour promouvoir l'unité mondiale dans la lutte contre la pandémie.
Dans le but de collecter des fonds pour l'Alliance mondiale pour les vaccins et l'immunisation (GAVI), le sommet a montré le souhait sincère des dirigeants que les vaccins puissent être un bien public mondial, plutôt qu'un produit purement commercial.
Bien qu'aucun vaccin n'ait encore passé la phase d'essais cliniques dans le monde aujourd'hui, la communauté mondiale se bat contre la montre pour en développer un contre le nouveau coronavirus, avec des progrès réalisés dans certains pays développés et en Chine.
C'est un rêve global d'avoir un vaccin efficace à une date rapprochée, mais un vaccin lui-même ne suffit pas. Des efforts internationaux conjoints doivent être déployés pour garantir son accessibilité à tous ceux qui en ont besoin.
La santé publique d'un pays n'est assurée que lorsque ses citoyens les plus vulnérables sont bien pris en charge. De même, le monde dans son ensemble ne sera à l'abri d'une pandémie que si les pays les plus pauvres sont bien équipés contre les risques d'infection.
Lors de son discours prononcé lors de ce sommet, le Premier ministre chinois Li Keqiang a déclaré qu'aucun pays n'était à l'abri du virus et que la santé et la sécurité de différentes populations étaient étroitement liées.
Pour l'heure, de nombreuses personnes craignent que les pays développés, leaders dans la recherche et le développement du vaccin, ne s'efforcent de tirer le maximum de bénéfices de leurs avantages, sans égard pour les pays pauvres. Or, dans la lutte mondiale contre le COVID-19, le virus ne connaît pas de frontière et les vaccins ne sauraient être contrôlés par quelques pays.
Des efforts doivent être déployés pour garantir qu'ils soient accessibles à tous ceux dans le besoin dès qu'ils seront disponibles. Par conséquent, tout individu dans n'importe quel pays, riche ou pauvre, devra y avoir accès et personne ne devra être privé de cette opportunité.
Actuellement, à travers la planète, 20 millions d'enfants n'ont pas accès à la gamme complète des vaccins, tandis qu'un sur cinq n'a reçu aucun vaccin, a noté le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, lors du sommet.
Le facteur clé derrière ce triste constat est que la plupart des pays en développement ne disposent pas des fonds nécessaires et du savoir-faire essentiel pour développer des vaccins. Ainsi, face à la pandémie, leur sort est encore plus désespéré et les écarts dans la livraison mondiale de vaccins pourraient se creuser.
Pour les réduire, les pays devraient pleinement reconnaître le rôle de coordination de l'OMS et la soutenir entièrement en renforçant la coopération internationale.
La bataille contre le COVID-19 n'est pas encore terminée. Face à la plus grande crise de santé publique de notre génération et en l'absence d'un vaccin efficace, la communauté internationale doit travailler ensemble pour y parvenir.
Enfin, une solidarité mondiale est nécessaire pour garantir une accessibilité à chaque personne, partout, lorsque les vaccins seront prêts.
Ce sommet, qui a réuni par visioconférence les dirigeants de plus de 30 pays et organisations internationales, dont l'ONU et l'OMS, a constitué un événement indispensable pour promouvoir l'unité mondiale dans la lutte contre la pandémie.
Dans le but de collecter des fonds pour l'Alliance mondiale pour les vaccins et l'immunisation (GAVI), le sommet a montré le souhait sincère des dirigeants que les vaccins puissent être un bien public mondial, plutôt qu'un produit purement commercial.
Bien qu'aucun vaccin n'ait encore passé la phase d'essais cliniques dans le monde aujourd'hui, la communauté mondiale se bat contre la montre pour en développer un contre le nouveau coronavirus, avec des progrès réalisés dans certains pays développés et en Chine.
C'est un rêve global d'avoir un vaccin efficace à une date rapprochée, mais un vaccin lui-même ne suffit pas. Des efforts internationaux conjoints doivent être déployés pour garantir son accessibilité à tous ceux qui en ont besoin.
La santé publique d'un pays n'est assurée que lorsque ses citoyens les plus vulnérables sont bien pris en charge. De même, le monde dans son ensemble ne sera à l'abri d'une pandémie que si les pays les plus pauvres sont bien équipés contre les risques d'infection.
Lors de son discours prononcé lors de ce sommet, le Premier ministre chinois Li Keqiang a déclaré qu'aucun pays n'était à l'abri du virus et que la santé et la sécurité de différentes populations étaient étroitement liées.
Pour l'heure, de nombreuses personnes craignent que les pays développés, leaders dans la recherche et le développement du vaccin, ne s'efforcent de tirer le maximum de bénéfices de leurs avantages, sans égard pour les pays pauvres. Or, dans la lutte mondiale contre le COVID-19, le virus ne connaît pas de frontière et les vaccins ne sauraient être contrôlés par quelques pays.
Des efforts doivent être déployés pour garantir qu'ils soient accessibles à tous ceux dans le besoin dès qu'ils seront disponibles. Par conséquent, tout individu dans n'importe quel pays, riche ou pauvre, devra y avoir accès et personne ne devra être privé de cette opportunité.
Actuellement, à travers la planète, 20 millions d'enfants n'ont pas accès à la gamme complète des vaccins, tandis qu'un sur cinq n'a reçu aucun vaccin, a noté le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, lors du sommet.
Le facteur clé derrière ce triste constat est que la plupart des pays en développement ne disposent pas des fonds nécessaires et du savoir-faire essentiel pour développer des vaccins. Ainsi, face à la pandémie, leur sort est encore plus désespéré et les écarts dans la livraison mondiale de vaccins pourraient se creuser.
Pour les réduire, les pays devraient pleinement reconnaître le rôle de coordination de l'OMS et la soutenir entièrement en renforçant la coopération internationale.
La bataille contre le COVID-19 n'est pas encore terminée. Face à la plus grande crise de santé publique de notre génération et en l'absence d'un vaccin efficace, la communauté internationale doit travailler ensemble pour y parvenir.
Enfin, une solidarité mondiale est nécessaire pour garantir une accessibilité à chaque personne, partout, lorsque les vaccins seront prêts.