La cérémonie de lancement de la phase de mise en œuvre du projet "Conservation de la biodiversité dans le complexe Taï-Grébo-Sapo" s'est déroulée vendredi à la préfecture de Taï, en présence des autorités politiques, administratives, coutumières locales.
Après un processus préparatoire de deux ans, le gouvernement ivoirien a décidé en avril 2019, de créer un corridor écologique le long de la rivière Saro située à Taï. Ce, afin de restaurer la connectivité écologique entre le parc national de Taï en Côte d'Ivoire et le parc national de Grebo-Krahn au Liberia.
L'unité d'exécution du projet est composée d'un coordonnateur national, N'Kponé Amon Michel, d'un conseiller technique principal, Ormero Santiago, et d'un partenaire technique, Beligné Vincent.
Selon le coordonnateur du projet, le corridor écologique à mettre en place doit être géré à terme par les populations riveraines sous forme de Réserve naturelle volontaire (RNV). La prise en main de sa gestion passe par son acceptation à travers une demande de création de RNV et par la mise en place d'un comité de gestion du corridor (CGC) par l'unité d'exécution.
L'unité d'exécution du projet, basée à Taï, est chargée de sa mise en oeuvre pour une durée de cinq ans.
bai/gak/cmas
Après un processus préparatoire de deux ans, le gouvernement ivoirien a décidé en avril 2019, de créer un corridor écologique le long de la rivière Saro située à Taï. Ce, afin de restaurer la connectivité écologique entre le parc national de Taï en Côte d'Ivoire et le parc national de Grebo-Krahn au Liberia.
L'unité d'exécution du projet est composée d'un coordonnateur national, N'Kponé Amon Michel, d'un conseiller technique principal, Ormero Santiago, et d'un partenaire technique, Beligné Vincent.
Selon le coordonnateur du projet, le corridor écologique à mettre en place doit être géré à terme par les populations riveraines sous forme de Réserve naturelle volontaire (RNV). La prise en main de sa gestion passe par son acceptation à travers une demande de création de RNV et par la mise en place d'un comité de gestion du corridor (CGC) par l'unité d'exécution.
L'unité d'exécution du projet, basée à Taï, est chargée de sa mise en oeuvre pour une durée de cinq ans.
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