L'Ong " Une cœur, une âme" est résolue à lutter contre les violences conjugales à Grand-Bassam, a annoncé son premier responsable, Memel Alain, lors d'une rencontre de sensibilisation, dimanche, dans cette ville balnéaire.
Pour le président de l'Ong " Une cœur, une âme", le combat contre toutes les formes de violence dans le foyer, entre les couples est essentiel pour la préservation de la stabilité morale et psychologique des populations. "Il faut aider les couples à être unis, à s'aimer et protéger le bien-être de leurs progénitures face à la question de la violence conjugale", a-t-il déclaré.
Selon T. Danielle, le viol qu'elle a subi il y a sept ans, lui a laissé des douleurs permanentes et des colères dont elle arrive à peine à s'en séparer. "Je me suis décidé à pardonner mais pas d'oublier", a-t-elle témoigné, pour dénoncer les affres de la violence sexuelle.
L'amour entre deux personnes doit impliquer la relation, d'aide, le partage de confidences, le refus de faire du mal, ont unanimement reconnu les participants, qui ont préconisé une campagne nationale sur le mal des violences conjugales.
Créée depuis 2014, cette Ong entend, notamment, promouvoir une sexualité responsable dans le couple, privilégier une relation d'aide pour les fiancés, les mariés et autres et combattre la pauvreté par des activités génératrices de revenus (AGR).
(AIP)
nmfa/fmo
Pour le président de l'Ong " Une cœur, une âme", le combat contre toutes les formes de violence dans le foyer, entre les couples est essentiel pour la préservation de la stabilité morale et psychologique des populations. "Il faut aider les couples à être unis, à s'aimer et protéger le bien-être de leurs progénitures face à la question de la violence conjugale", a-t-il déclaré.
Selon T. Danielle, le viol qu'elle a subi il y a sept ans, lui a laissé des douleurs permanentes et des colères dont elle arrive à peine à s'en séparer. "Je me suis décidé à pardonner mais pas d'oublier", a-t-elle témoigné, pour dénoncer les affres de la violence sexuelle.
L'amour entre deux personnes doit impliquer la relation, d'aide, le partage de confidences, le refus de faire du mal, ont unanimement reconnu les participants, qui ont préconisé une campagne nationale sur le mal des violences conjugales.
Créée depuis 2014, cette Ong entend, notamment, promouvoir une sexualité responsable dans le couple, privilégier une relation d'aide pour les fiancés, les mariés et autres et combattre la pauvreté par des activités génératrices de revenus (AGR).
(AIP)
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