Agboville – Le plan d'Organisation des secours (ORSEC) visant à mettre en œuvre des mesures de prévention contre les accidents, les sinistres et les catastrophes d’origine humaine, naturelle ou technologique, a été déployé à Agboville, à l’effet de prévenir les riverains du fleuve Agbo contre d’éventuels risques d’inondation en cette période de saison des pluies.
Au nom du préfet de région, une délégation des chefs de service impliqués dans le plan ORSEC s’est rendue mardi dans les différentes zones à risque afin de sensibiliser les habitants sur les dispositions à prendre pour ne pas se faire piéger.
Ces habitants des zones telles que les quartiers Artisanal, Gantoua, Odiénekabougou ont été priés de quitter les lieux avant que le pire ne se produise, ou alors de s’attacher les services de parents ou de tuteurs qui pourraient les héberger au cas où les eaux du fleuve déborderaient avec l’annonce des pluies.
Cela est d’autant plus évident que chaque fois qu’il y a eu de fortes pluies en amont, les riverains de ces zones à risque ont été sinistrés. D’où l’insistance de la délégation conduite par la Secrétaire générale 2, Sylvie Niamké, de les voir partir au plus vite.
En 2018, ils avaient été sommés de partir suite à des inondations. Mais évoquant un manque de moyens, ils sont restés sur place jusque-là.
(AIP)
yy/cmas
Au nom du préfet de région, une délégation des chefs de service impliqués dans le plan ORSEC s’est rendue mardi dans les différentes zones à risque afin de sensibiliser les habitants sur les dispositions à prendre pour ne pas se faire piéger.
Ces habitants des zones telles que les quartiers Artisanal, Gantoua, Odiénekabougou ont été priés de quitter les lieux avant que le pire ne se produise, ou alors de s’attacher les services de parents ou de tuteurs qui pourraient les héberger au cas où les eaux du fleuve déborderaient avec l’annonce des pluies.
Cela est d’autant plus évident que chaque fois qu’il y a eu de fortes pluies en amont, les riverains de ces zones à risque ont été sinistrés. D’où l’insistance de la délégation conduite par la Secrétaire générale 2, Sylvie Niamké, de les voir partir au plus vite.
En 2018, ils avaient été sommés de partir suite à des inondations. Mais évoquant un manque de moyens, ils sont restés sur place jusque-là.
(AIP)
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