Korhogo – La Plateforme nationale de réduction des risques et de gestion des catastrophes a entamé lundi, à Korhogo, la formation des acteurs locaux de première ligne impliqués dans la prise en charge des corps des personnes décédées du coronavirus jusqu’à leur inhumation.
Une quinzaine de personnes représentant les ministères en charge de la santé et de l’hygiène publique, des ressources animales et halieutiques, des ONG et associations, le conseil national des droits de l’homme, le comité inter-religieux, les morgues et les services de pompes funèbres, les cimetières ainsi que les autorités locales prennent part à cette formation.
Selon le Pr Yéo Jean-Marie, l’un des formateurs, il s’agit de faire acquérir à ces personnes les « habiletés pratiques et opérationnelles » en vue d’une « inhumation sûre et digne » des personnes qui décèdent lors d’une pandémie de façon générale, mais plus spécifiquement du Covid-19.
La formation vise également à leur donner les compétences requises pour apporter le soutien psychologie nécessaire aux victimes en cas de catastrophe avec des décès massifs, a-t-il ajouté.
La ville de Korhogo n’est pas particulièrement touchée par la maladie, note-t-on.
La Plateforme nationale de réduction des risques et de gestion des catastrophes veut toutefois anticiper en préparant les populations et les décideurs locaux à la meilleure façon de traiter les corps pour éviter les risques de contamination et freiner la chaîne de transmission en cas forte mortalité.
La formation s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du plan national de riposte du Covid-19. Elle est initiée avec la collaboration du centre d’excellence de l’Union européenne pour la réduction des risques chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires et s’achève ce mardi.
Kaem/kp
Une quinzaine de personnes représentant les ministères en charge de la santé et de l’hygiène publique, des ressources animales et halieutiques, des ONG et associations, le conseil national des droits de l’homme, le comité inter-religieux, les morgues et les services de pompes funèbres, les cimetières ainsi que les autorités locales prennent part à cette formation.
Selon le Pr Yéo Jean-Marie, l’un des formateurs, il s’agit de faire acquérir à ces personnes les « habiletés pratiques et opérationnelles » en vue d’une « inhumation sûre et digne » des personnes qui décèdent lors d’une pandémie de façon générale, mais plus spécifiquement du Covid-19.
La formation vise également à leur donner les compétences requises pour apporter le soutien psychologie nécessaire aux victimes en cas de catastrophe avec des décès massifs, a-t-il ajouté.
La ville de Korhogo n’est pas particulièrement touchée par la maladie, note-t-on.
La Plateforme nationale de réduction des risques et de gestion des catastrophes veut toutefois anticiper en préparant les populations et les décideurs locaux à la meilleure façon de traiter les corps pour éviter les risques de contamination et freiner la chaîne de transmission en cas forte mortalité.
La formation s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du plan national de riposte du Covid-19. Elle est initiée avec la collaboration du centre d’excellence de l’Union européenne pour la réduction des risques chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires et s’achève ce mardi.
Kaem/kp