La nouvelle approche de la Chine pour contenir l'épidémie de nouveau coronavirus dans sa capitale, Beijing, pourrait "constituer un indicateur de la manière dont la Chine pourrait gérer les futures épidémies", a estimé vendredi le quotidien américain The New York Times.
Les autorités municipales "n'écrasent pas la ville entière et sa relance économique bourgeonnante par des restrictions sévères", écrivent Keith Bradsher et Chris Buckley dans un article intitulé "Dans cette vague de coronavirus, la Chine essaie quelque chose de nouveau : la retenue".
Mentionnant le fait que les magasins, les restaurants et les salons de coiffure fonctionnaient toujours dans certaines parties de Beijing, l'article relève que les tests de dépistage et la recherche des contacts sont "essentiels à la stratégie de confinement du gouvernement".
La capacité quotidienne de tests d'acide nucléique de la ville est passée de 100.000 à plus de 230.000 en date de samedi dernier, selon les autorités locales.
Depuis le 13 juin, des personnes travaillant dans le marché de gros de Xinfadi, lié à la plupart des nouveaux cas signalés, des résidents des quartiers voisins et des personnes qui se sont rendues dans ce marché ont été invitées à passer des tests d'acide nucléique.
La municipalité a également rendu prioritaires les tests pour les employés de restaurant, d'épicerie, de marché de gros ainsi que d'entreprise de livraison, selon la mairie.
Beijing a adopté des mesures plus strictes dans sa deuxième phase de lutte contre le nouveau coronavirus, telles que l'installation de points de contrôle de sécurité 24h/24 dans les communautés locales, et l'appel au renforcement de la distanciation sociale, a rapporté le quotidien hongkongais China Morning Post (SCMP).
"Le risque de voir des cas importés déclencher de nouvelles flambées reste la principale menace pour la Chine, où une réponse rapide et vigoureuse sera alors nécessaire pour les contenir", a confié au SCMP Michael Baker, professeur de santé publique à l'Université d'Otago à Wellington.
La réponse que donnera la Chine est "très susceptible de réussir, compte tenu de l'expérience qu'elle a démontrée avec de telles mesures de contrôle", a-t-il ajouté.
Les autorités municipales "n'écrasent pas la ville entière et sa relance économique bourgeonnante par des restrictions sévères", écrivent Keith Bradsher et Chris Buckley dans un article intitulé "Dans cette vague de coronavirus, la Chine essaie quelque chose de nouveau : la retenue".
Mentionnant le fait que les magasins, les restaurants et les salons de coiffure fonctionnaient toujours dans certaines parties de Beijing, l'article relève que les tests de dépistage et la recherche des contacts sont "essentiels à la stratégie de confinement du gouvernement".
La capacité quotidienne de tests d'acide nucléique de la ville est passée de 100.000 à plus de 230.000 en date de samedi dernier, selon les autorités locales.
Depuis le 13 juin, des personnes travaillant dans le marché de gros de Xinfadi, lié à la plupart des nouveaux cas signalés, des résidents des quartiers voisins et des personnes qui se sont rendues dans ce marché ont été invitées à passer des tests d'acide nucléique.
La municipalité a également rendu prioritaires les tests pour les employés de restaurant, d'épicerie, de marché de gros ainsi que d'entreprise de livraison, selon la mairie.
Beijing a adopté des mesures plus strictes dans sa deuxième phase de lutte contre le nouveau coronavirus, telles que l'installation de points de contrôle de sécurité 24h/24 dans les communautés locales, et l'appel au renforcement de la distanciation sociale, a rapporté le quotidien hongkongais China Morning Post (SCMP).
"Le risque de voir des cas importés déclencher de nouvelles flambées reste la principale menace pour la Chine, où une réponse rapide et vigoureuse sera alors nécessaire pour les contenir", a confié au SCMP Michael Baker, professeur de santé publique à l'Université d'Otago à Wellington.
La réponse que donnera la Chine est "très susceptible de réussir, compte tenu de l'expérience qu'elle a démontrée avec de telles mesures de contrôle", a-t-il ajouté.