Abidjan - L’Organisation des Nations-Unies a relevé lundi une augmentation signification au niveau mondial des violences domestiques précisément à l’endroit des femmes durant cette crise de Covid-19, et réclame des sanctions pour les agresseurs.
Le confinement exacerbe les tensions et le stress créés par les soucis de sécurité, de santé et d’argent. Il renforce par ailleurs l’isolement des femmes ayant un partenaire violent et les sépare des personnes et des ressources les plus à même de les aider. C’est la tempête idéale pour laisser libre cours aux comportements violents et dominateurs derrière les portes closes.
De plus, les refuges pour les victimes de violence domestique ne sont pas toujours accessibles durant la pandémie, ces derniers étant souvent réquisitionnés pour renforcer les mesures d’urgence contre la Covid-19.
Pourtant, si des personnes essaient de présenter et blâmer les circonstances favorisantes, entre-autres « la pandémie de Covid-19, le stress social et économique, l’incertitude, et de façon scandaleuse la victime, sauf l’agresseur », la vice-secrétaire générale de l'ONU, Amina Mohammed appelle à la sanction pour les agresseurs.
«Soyons clairs : la violence sexuelle - toute forme de violence - est tout simplement de la violence. Il n'y a aucune excuse. Il n'y a aucune justification. Et il doit y avoir une tolérance zéro. Nous devons tous réagir et nous exprimez», a-t-elle déclaré, déplorant le fait que «partout dans le monde, la violence contre les femmes et les filles, y compris le viol, explose. Et de nombreux incidents ont suscité une indignation généralisée».
La vice-secrétaire générale appelle donc la gent masculine à avoir une conversation sur ce sujet « en rejoignant l'appel du secrétaire général de l’ONU, António Guterres, pour la paix partout - dans les zones de guerre et dans les foyers ».
« Soutenez l'Initiative Spotlight appelant les hommes à mettre fin à la violence contre les femmes et les filles », a-t-elle ajouté. Mme Mohammed rappelle aux hommes que « sans une femme et ses neuf mois de grossesse, vous ne seriez pas là où vous êtes ». « Soutenons nos mères, nos sœurs, nos filles, nos partenaires. Et, ensemble, déclarons d'une seule voix : je suis #AvecElle », a-t-elle conclu.
eaa/kam
Le confinement exacerbe les tensions et le stress créés par les soucis de sécurité, de santé et d’argent. Il renforce par ailleurs l’isolement des femmes ayant un partenaire violent et les sépare des personnes et des ressources les plus à même de les aider. C’est la tempête idéale pour laisser libre cours aux comportements violents et dominateurs derrière les portes closes.
De plus, les refuges pour les victimes de violence domestique ne sont pas toujours accessibles durant la pandémie, ces derniers étant souvent réquisitionnés pour renforcer les mesures d’urgence contre la Covid-19.
Pourtant, si des personnes essaient de présenter et blâmer les circonstances favorisantes, entre-autres « la pandémie de Covid-19, le stress social et économique, l’incertitude, et de façon scandaleuse la victime, sauf l’agresseur », la vice-secrétaire générale de l'ONU, Amina Mohammed appelle à la sanction pour les agresseurs.
«Soyons clairs : la violence sexuelle - toute forme de violence - est tout simplement de la violence. Il n'y a aucune excuse. Il n'y a aucune justification. Et il doit y avoir une tolérance zéro. Nous devons tous réagir et nous exprimez», a-t-elle déclaré, déplorant le fait que «partout dans le monde, la violence contre les femmes et les filles, y compris le viol, explose. Et de nombreux incidents ont suscité une indignation généralisée».
La vice-secrétaire générale appelle donc la gent masculine à avoir une conversation sur ce sujet « en rejoignant l'appel du secrétaire général de l’ONU, António Guterres, pour la paix partout - dans les zones de guerre et dans les foyers ».
« Soutenez l'Initiative Spotlight appelant les hommes à mettre fin à la violence contre les femmes et les filles », a-t-elle ajouté. Mme Mohammed rappelle aux hommes que « sans une femme et ses neuf mois de grossesse, vous ne seriez pas là où vous êtes ». « Soutenons nos mères, nos sœurs, nos filles, nos partenaires. Et, ensemble, déclarons d'une seule voix : je suis #AvecElle », a-t-elle conclu.
eaa/kam