Aboisso - Les transporteurs d’Aboisso ont plaidé mardi, lors d’un entretien avec l’AIP, pour un soutien du Gouvernement, vu l’ampleur des difficultés que traverse le secteur par rapport à la pandémie du coronavirus, Covid-19.
"Nous remercions le Gouvernement pour le travail abattu dans la lutte contre la Covid-19. Cependant, nous lui demandons de nous soutenir, nous les transporteurs d’Aboisso. Nous savons qu’il s’agit d’une situation générale. Mais nous parlons d’Aboisso, parce que nous avons une situation particulière. On ne peut plus aller à Abidjan parce qu’Aboisso est coupé du Grand Abidjan. On ne peut plus non plus aller à Noé parce que la frontière est fermée", a expliqué le responsable du syndicat des transporteurs
Pour M. Kouao, cette situation fait que les transporteurs d'Aboisso se retrouvent comme dans un gouffre, incapables d'aller nulle part.
Il estime par conséquent que le secteur du transport à Aboisso est complètement sinistré.
« Regardez nos véhicules, près de 300 véhicules ont tous garé », a-t-il ajouté.
Plusieurs secteurs économiques à Aboisso, à l’image des autres villes de la Côte d’Ivoire, sont en difficulté depuis le déclenchement de la pandémie Covid-19.
(AIP)
Akn/kp
"Nous remercions le Gouvernement pour le travail abattu dans la lutte contre la Covid-19. Cependant, nous lui demandons de nous soutenir, nous les transporteurs d’Aboisso. Nous savons qu’il s’agit d’une situation générale. Mais nous parlons d’Aboisso, parce que nous avons une situation particulière. On ne peut plus aller à Abidjan parce qu’Aboisso est coupé du Grand Abidjan. On ne peut plus non plus aller à Noé parce que la frontière est fermée", a expliqué le responsable du syndicat des transporteurs
Pour M. Kouao, cette situation fait que les transporteurs d'Aboisso se retrouvent comme dans un gouffre, incapables d'aller nulle part.
Il estime par conséquent que le secteur du transport à Aboisso est complètement sinistré.
« Regardez nos véhicules, près de 300 véhicules ont tous garé », a-t-il ajouté.
Plusieurs secteurs économiques à Aboisso, à l’image des autres villes de la Côte d’Ivoire, sont en difficulté depuis le déclenchement de la pandémie Covid-19.
(AIP)
Akn/kp