Man – Une vingtaine d’acteurs nationaux du Tonkpi ont participé de lundi à mardi, à la direction régionale de la Santé et de l’Hygiène publique de Man, à une formation, en vue de garantir une inhumation « digne » des personnes décédées de coronavirus, en évitant de propager la maladie.
Ces travaux sont menés dans le cadre de la riposte contre la Covid-19. Ils ont été dirigés par des experts locaux et ceux de l'Institut national de l'hygiène publique autour du thème central « Habilités pratiques et opérationnelles en vue d'une inhumation sûre et digne des personnes décédées lors d'une épidémie et soutien psychologique à apporter aux populations en cas de scénarii catastrophe avec décès massifs ».
Les échanges ont permis aux participants d’avoir des connaissances minimales requises pour le traitement approprié des dépouilles des personnes décédées, ainsi que les « meilleures pratiques de sépultures » au regard des us, coutumes et religions, tout en développant une stratégie de communication en direction des populations, a-t-on appris.
Il a été également question de montrer aux acteurs comment limiter au maximum les risques de contamination par les cadavres, car selon le représentant du comité national de la réduction des risques liés aux matières d'origine nucléaire, radiologique, biologique et chimique, Dr Doumbia Isaac, il a été découvert chez certaines personnes décédées des virus vivant cinq jours après leur décès.
Lors de son intervention, le directeur régional de la Santé et de l'Hygiène publique, Dr Tia Mamadou, a rappelé les efforts du gouvernement dans la prise en charge de la maladie à coronavirus.
« Bientôt le CHR de Man va abriter un centre de traitement et de réanimation des malades de la Covid-19. Et une fois la construction de l'ouvrage achevée, nous aurons sur place un centre régional de dépistage dans la capitale du Tonkpi », a-t-il annoncé lors de l’ouverture de l’atelier, en présence du corps préfectoral.
Ces travaux sont initiés par la primature et le secrétariat exécutif de la plate-forme nationale de réduction des risques et de gestion des catastrophes, point focal de l’Union européenne, en partenariat avec la cellule de coordination de l’hygiène, de la sécurité sanitaire et des inhumations.
(AIP)
Amak/kp
Ces travaux sont menés dans le cadre de la riposte contre la Covid-19. Ils ont été dirigés par des experts locaux et ceux de l'Institut national de l'hygiène publique autour du thème central « Habilités pratiques et opérationnelles en vue d'une inhumation sûre et digne des personnes décédées lors d'une épidémie et soutien psychologique à apporter aux populations en cas de scénarii catastrophe avec décès massifs ».
Les échanges ont permis aux participants d’avoir des connaissances minimales requises pour le traitement approprié des dépouilles des personnes décédées, ainsi que les « meilleures pratiques de sépultures » au regard des us, coutumes et religions, tout en développant une stratégie de communication en direction des populations, a-t-on appris.
Il a été également question de montrer aux acteurs comment limiter au maximum les risques de contamination par les cadavres, car selon le représentant du comité national de la réduction des risques liés aux matières d'origine nucléaire, radiologique, biologique et chimique, Dr Doumbia Isaac, il a été découvert chez certaines personnes décédées des virus vivant cinq jours après leur décès.
Lors de son intervention, le directeur régional de la Santé et de l'Hygiène publique, Dr Tia Mamadou, a rappelé les efforts du gouvernement dans la prise en charge de la maladie à coronavirus.
« Bientôt le CHR de Man va abriter un centre de traitement et de réanimation des malades de la Covid-19. Et une fois la construction de l'ouvrage achevée, nous aurons sur place un centre régional de dépistage dans la capitale du Tonkpi », a-t-il annoncé lors de l’ouverture de l’atelier, en présence du corps préfectoral.
Ces travaux sont initiés par la primature et le secrétariat exécutif de la plate-forme nationale de réduction des risques et de gestion des catastrophes, point focal de l’Union européenne, en partenariat avec la cellule de coordination de l’hygiène, de la sécurité sanitaire et des inhumations.
(AIP)
Amak/kp