Tiébissou - Dans le cadre de la mise en œuvre du projet "espaces sûrs" financé par le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) au bénéfice des adolescents et jeunes déscolarisés de 10 à 24 ans, la directrice exécutive de l’ONG renaissance Santé Bouaké (RSB), Toualy Osso Dorothée, a rencontré, vendredi, à l’institut de formation et d’éducation féminine (IFEF) de Tiébissou, des bénéficiaires, mentors, ainsi que le superviseur dudit projet, pour une séance d'explication.
Ce projet dont l'objectif est de maintenir la jeune fille à l’école et créer un monde où chaque jeune puisse exploiter pleinement ses potentialités, vise 80% de filles et 20% de garçons au niveau des bénéficiaires.
Selon Mme Toualy, " l’espace sûr ", un espace d’écoute de jeunes avec des dispositifs de prévention et de proximité, initié comme un canal idéal pour lutter contre le mal-être des jeunes et prévenir des risques plus graves comme la rupture familiale ou la déscolarisation et les différentes addictions.
"C’est un centre convivial et de confiance animé par des mentors féminins formés, qui doivent permettre aux jeunes de se recréer avec différents jeux et de se former sur diverses thématiques et de trouver des oreilles attentives et disponibles pour des solutions à leurs problèmes et aider à leur insertion socioprofessionnelle", a expliqué, la directrice de l'Ong RSB.
Elle a précisé qu’après l’identification des espaces, des mentors, des superviseurs et des bénéficiaires, la prochaine étape sera la formation de ces mentors et superviseurs afin qu’ils soient outillés pour l’animation et la supervision des séances qui doivent concerner au plus 20 bénéficiaires compte tenu des mesures barrières de la crise sanitaire de la COVID-19.
Pour la ville de Tiébissou ce sont les installations de l’IFEF qui accueilleront les séances de ce projet dont la fin est prévue pour fin décembre 2020. Outre la ville de Tiébissou, le département va accueillir deux autres "espaces sûrs" dont N’gatta-dolikro et Minambo.
myk/ebd/kam
Ce projet dont l'objectif est de maintenir la jeune fille à l’école et créer un monde où chaque jeune puisse exploiter pleinement ses potentialités, vise 80% de filles et 20% de garçons au niveau des bénéficiaires.
Selon Mme Toualy, " l’espace sûr ", un espace d’écoute de jeunes avec des dispositifs de prévention et de proximité, initié comme un canal idéal pour lutter contre le mal-être des jeunes et prévenir des risques plus graves comme la rupture familiale ou la déscolarisation et les différentes addictions.
"C’est un centre convivial et de confiance animé par des mentors féminins formés, qui doivent permettre aux jeunes de se recréer avec différents jeux et de se former sur diverses thématiques et de trouver des oreilles attentives et disponibles pour des solutions à leurs problèmes et aider à leur insertion socioprofessionnelle", a expliqué, la directrice de l'Ong RSB.
Elle a précisé qu’après l’identification des espaces, des mentors, des superviseurs et des bénéficiaires, la prochaine étape sera la formation de ces mentors et superviseurs afin qu’ils soient outillés pour l’animation et la supervision des séances qui doivent concerner au plus 20 bénéficiaires compte tenu des mesures barrières de la crise sanitaire de la COVID-19.
Pour la ville de Tiébissou ce sont les installations de l’IFEF qui accueilleront les séances de ce projet dont la fin est prévue pour fin décembre 2020. Outre la ville de Tiébissou, le département va accueillir deux autres "espaces sûrs" dont N’gatta-dolikro et Minambo.
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