Abidjan, La Fondation African Women initiatives (AWI) a présenté son projet d’appui à "25 000 SÊWA", jeune dame dynamique et entreprenante à ses partenaires au cours d’une table ronde, jeudi, à son siège sis à Cocody-Riviera Golf.
Cette rencontre avait pour objectif de mobiliser ces partenaires en vue de susciter leur intérêt et adhésion à ce programme d’appui destiné au renforcement de capacités (formation et augmentation de stocks) des femmes à faibles revenus (revenus inférieurs au salaire minimum garanti -SMIG-), comme solution résiliente face à la crise sanitaire liée à la pandémie du Covid-19.
Le projet d’appui à "25 000 SÊWA" initié par la fondation AWI a permis, dans sa phase pilote, d’apporter un appui financier à 25 femmes issues de six communes du District d’Abidjan.
Celles-ci ont pu bénéficier d’une aide financière en kits d’installation (parasols, glacières, produits de consommation-farine, boisson, huile...) d’une valeur de 50 000 FCFA pour les unes et 100 000 FCFA pour les autres pour booster leurs activités.
Au vu des résultats satisfaisants enregistrés, la Fondation a décidé d’étendre le programme SÊWA sur toute l’étendue du territoire national. Ainsi, le projet cible 25 000 femmes entreprenantes exerçant dans le commerce et issues des 201 communes du pays.
Sur une période de 24 mois, il s’agira d’apporter à ces dernières la formation, les appuis techniques, matériels et financiers nécessaires à l’amélioration de leurs conditions de vie en vue de leur l’autonomisation pour le développement communautaire.
Selon le chargé de suivi et évaluation de la fondation, Boni Arnaud, l’objectif principal est de maintenir les activités des femmes en cessation d’activité ou en activité, mais ayant des difficultés de trésorerie du fait de la crise sanitaire.
Ce projet devra également permettre d’améliorer les conditions de vie des femmes, de financer les besoins nécessaires des bénéficiaires pour accroître leurs activités, de constituer un réseau de clients pour les établissements financiers et assurance, à travers l’inclusion financière et socioéconomique des femmes etc, a expliqué M. Boni.
« Nous accompagnons, mais sommes aussi heureux d’être accompagnés. Merci pour l’intérêt que chacun accorde à ce projet qui vise à l’autonomisation financière de la femme », s’est réjouie la présidente de la fondation, Mariam Fadiga Fofana.
Les partenaires présents, la Chambre de Commerce et de l’industrie, Carré d’or, FDFP, ONU Femmes, PNUD, projet Covid, SSCO, unacoopec-ci et bien d’autres n’ont pas manqué de saluer cette belle initiative de la Fondation AWI, sans oublier d’apporter leur contribution pour faciliter sa mise en œuvre sur le terrain.
(AIP)
bsb/ask
Cette rencontre avait pour objectif de mobiliser ces partenaires en vue de susciter leur intérêt et adhésion à ce programme d’appui destiné au renforcement de capacités (formation et augmentation de stocks) des femmes à faibles revenus (revenus inférieurs au salaire minimum garanti -SMIG-), comme solution résiliente face à la crise sanitaire liée à la pandémie du Covid-19.
Le projet d’appui à "25 000 SÊWA" initié par la fondation AWI a permis, dans sa phase pilote, d’apporter un appui financier à 25 femmes issues de six communes du District d’Abidjan.
Celles-ci ont pu bénéficier d’une aide financière en kits d’installation (parasols, glacières, produits de consommation-farine, boisson, huile...) d’une valeur de 50 000 FCFA pour les unes et 100 000 FCFA pour les autres pour booster leurs activités.
Au vu des résultats satisfaisants enregistrés, la Fondation a décidé d’étendre le programme SÊWA sur toute l’étendue du territoire national. Ainsi, le projet cible 25 000 femmes entreprenantes exerçant dans le commerce et issues des 201 communes du pays.
Sur une période de 24 mois, il s’agira d’apporter à ces dernières la formation, les appuis techniques, matériels et financiers nécessaires à l’amélioration de leurs conditions de vie en vue de leur l’autonomisation pour le développement communautaire.
Selon le chargé de suivi et évaluation de la fondation, Boni Arnaud, l’objectif principal est de maintenir les activités des femmes en cessation d’activité ou en activité, mais ayant des difficultés de trésorerie du fait de la crise sanitaire.
Ce projet devra également permettre d’améliorer les conditions de vie des femmes, de financer les besoins nécessaires des bénéficiaires pour accroître leurs activités, de constituer un réseau de clients pour les établissements financiers et assurance, à travers l’inclusion financière et socioéconomique des femmes etc, a expliqué M. Boni.
« Nous accompagnons, mais sommes aussi heureux d’être accompagnés. Merci pour l’intérêt que chacun accorde à ce projet qui vise à l’autonomisation financière de la femme », s’est réjouie la présidente de la fondation, Mariam Fadiga Fofana.
Les partenaires présents, la Chambre de Commerce et de l’industrie, Carré d’or, FDFP, ONU Femmes, PNUD, projet Covid, SSCO, unacoopec-ci et bien d’autres n’ont pas manqué de saluer cette belle initiative de la Fondation AWI, sans oublier d’apporter leur contribution pour faciliter sa mise en œuvre sur le terrain.
(AIP)
bsb/ask