Après la fin de l'isolement du Grand Abidjan le 15 juillet 2020, l'Association graine ivoire et santé (AGIS) se déploie à l'intérieur du pays notamment à Bouaké et Yamoussoukro pour sensibiliser sur la maladie à coronavirus.
Le président de l'ONG, Sylla Aboubakar a indiqué lundi 27 juillet 2020, lors d'un point presse au Plateau, avoir ciblé ces deux localités parce que, premièrement, Bouaké est la deuxième ville la plus peuplée de la Côte d'Ivoire et Yamoussoukro, la capitale politique du pays.
De plus, a poursuivi M. Sylla, Bouaké et Yamoussoukro sont deux zones carrefour où des informations peuvent circuler et où "des actions peuvent avoir une portée intéressante".
"Nous avons quand même une expertise sur le Covid-19", a-t-il ajouté affirmant s'appuyer sur les ONG locales à travers, entre autres, la formation, la distribution de seaux de lavage de mains, de pulvérisateurs, de masques, de bottes, de visières et de vivres dans le cadre de l'opération qui démarre début août pour s'achever fin septembre.
Il a souligné que l'objectif ici est de venir en appui au gouvernement engagé dans ce combat depuis l'apparition du premier cas afin de vaincre la pandémie.
"L'impact économique à l'intérieur du pays est fort parce que le Grand Abidjan étant fermé, les activités génératrices de revenus ont fortement diminué ou sont quasiment au point mort", a-t-il déploré.
L'ONG AGIS a été fondée en 2010 en France et enregistrée auprès du ministère ivoirien de la Santé en 2013. Elle compte près de 200 bénévoles et intervient dans le domaine de la santé de la mère et de l'enfant. Dans le cadre de la lutte contre la COVID 19, l'ONG a mené des actions au zoo d'Abidjan, dans les marchés d'Abobo derrière rail et PK 18, entre autres.
(AIP)
sn/aaa/ask
Le président de l'ONG, Sylla Aboubakar a indiqué lundi 27 juillet 2020, lors d'un point presse au Plateau, avoir ciblé ces deux localités parce que, premièrement, Bouaké est la deuxième ville la plus peuplée de la Côte d'Ivoire et Yamoussoukro, la capitale politique du pays.
De plus, a poursuivi M. Sylla, Bouaké et Yamoussoukro sont deux zones carrefour où des informations peuvent circuler et où "des actions peuvent avoir une portée intéressante".
"Nous avons quand même une expertise sur le Covid-19", a-t-il ajouté affirmant s'appuyer sur les ONG locales à travers, entre autres, la formation, la distribution de seaux de lavage de mains, de pulvérisateurs, de masques, de bottes, de visières et de vivres dans le cadre de l'opération qui démarre début août pour s'achever fin septembre.
Il a souligné que l'objectif ici est de venir en appui au gouvernement engagé dans ce combat depuis l'apparition du premier cas afin de vaincre la pandémie.
"L'impact économique à l'intérieur du pays est fort parce que le Grand Abidjan étant fermé, les activités génératrices de revenus ont fortement diminué ou sont quasiment au point mort", a-t-il déploré.
L'ONG AGIS a été fondée en 2010 en France et enregistrée auprès du ministère ivoirien de la Santé en 2013. Elle compte près de 200 bénévoles et intervient dans le domaine de la santé de la mère et de l'enfant. Dans le cadre de la lutte contre la COVID 19, l'ONG a mené des actions au zoo d'Abidjan, dans les marchés d'Abobo derrière rail et PK 18, entre autres.
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