Kiémou (Korhogo), Quatre-vingts enfants des villages de Nagbélikaha, Zanakaha 1 et Tenenakaha 2, dans la sous-préfecture de Kiémou, département de Korhogo, se sont vu remettre des jugements supplétifs le mercredi 29 juillet, à Nagbélikaha.
Ces jugements supplétifs ont été établis à l’initiative de l’Ong Care internationale qui exécute un projet dénommé Cargill Coton dans ces trois villages pour promouvoir l’autonomisation des femmes.
Selon sa cheffe de projet, Oualogo Flora, l’objectif de l’Ong en offrant des jugements supplétifs à des enfants dans cette zone enclavée pour leur permettre d’aller à l’école est d’encourager la scolarisation.
Mme Oualogo a annoncé, en outre, que l’Ong mettait 160 kits scolaires à la disposition des écoliers dans les trois villages bénéficiaires du projet pour la prochaine rentrée scolaire.
Procédant à la distribution des documents à leurs propriétaires, le sous-préfet, Bobo Zokou Guy, s’est réjoui de l’initiative de l’Ong. Il a rappelé l’importance de l’acte de naissance ou du jugement supplétif pour les individus.
« C’est le document qui confère une existence juridique à la personne », a-t-il dit, invitant avec insistance les parents à se rendre à la sous-préfecture pour déclarer leurs enfants ou se déclarer eux-mêmes s’ils n’ont pas de juments supplétifs.
(AIP)
kaem/fmo
Ces jugements supplétifs ont été établis à l’initiative de l’Ong Care internationale qui exécute un projet dénommé Cargill Coton dans ces trois villages pour promouvoir l’autonomisation des femmes.
Selon sa cheffe de projet, Oualogo Flora, l’objectif de l’Ong en offrant des jugements supplétifs à des enfants dans cette zone enclavée pour leur permettre d’aller à l’école est d’encourager la scolarisation.
Mme Oualogo a annoncé, en outre, que l’Ong mettait 160 kits scolaires à la disposition des écoliers dans les trois villages bénéficiaires du projet pour la prochaine rentrée scolaire.
Procédant à la distribution des documents à leurs propriétaires, le sous-préfet, Bobo Zokou Guy, s’est réjoui de l’initiative de l’Ong. Il a rappelé l’importance de l’acte de naissance ou du jugement supplétif pour les individus.
« C’est le document qui confère une existence juridique à la personne », a-t-il dit, invitant avec insistance les parents à se rendre à la sous-préfecture pour déclarer leurs enfants ou se déclarer eux-mêmes s’ils n’ont pas de juments supplétifs.
(AIP)
kaem/fmo
