Il faut se préparer maintenant pour anticiper une deuxième vague "hautement probable" cet automne en France de l'épidémie de nouveau coronavirus, a averti lundi le Conseil scientifique.
Dans un contexte où l'on constate un relâchement des mesures barrières, "l'équilibre est fragile et nous pouvons basculer à tout moment" vers une reprise incontrôlée, a-t-il averti.
A long terme, face à la haute probabilité d'une seconde vague épidémique à l'automne ou l'hiver prochain, les autorités sanitaires doivent se préparer à "mettre en place opérationnellement les plans de prévention, de prise en charge, de suivi et de précaution", proposent ses membres.
Pour eux, il est nécessaire de renouveler des campagnes d'information "rappelant l'importance du port du masque et des mesures barrières durant cette période d'été pour se protéger et protéger son entourage, y compris chez les jeunes".
Le Premier ministre Jean Castex, lors d'une visite lundi à Lille (nord) où le masque est désormais obligatoire dans les rues du centre-ville, a appelé les Français à ne pas baisser la garde face à une résurgence du virus pour éviter un "reconfinement généralisé".
Dans un contexte où l'on constate un relâchement des mesures barrières, "l'équilibre est fragile et nous pouvons basculer à tout moment" vers une reprise incontrôlée, a-t-il averti.
A long terme, face à la haute probabilité d'une seconde vague épidémique à l'automne ou l'hiver prochain, les autorités sanitaires doivent se préparer à "mettre en place opérationnellement les plans de prévention, de prise en charge, de suivi et de précaution", proposent ses membres.
Pour eux, il est nécessaire de renouveler des campagnes d'information "rappelant l'importance du port du masque et des mesures barrières durant cette période d'été pour se protéger et protéger son entourage, y compris chez les jeunes".
Le Premier ministre Jean Castex, lors d'une visite lundi à Lille (nord) où le masque est désormais obligatoire dans les rues du centre-ville, a appelé les Français à ne pas baisser la garde face à une résurgence du virus pour éviter un "reconfinement généralisé".