Abidjan, Le président américain, Donald Trump a brusquement interrompu lundi 10 août 2020 une conférence de presse à la Maison-Blanche, brièvement placée en confinement, avant de revenir expliquer que le «Secret Service», chargé de protéger le président des États-Unis, venait de tirer sur une personne «à l'extérieur de la Maison-Blanche».
«La police a tiré sur quelqu'un», a expliqué Donald Trump à son retour devant les journalistes. «Et le suspect est en route pour l'hôpital», a-t-il ajouté.
Le Secret Service a ensuite raconté en détail la scène dans un communiqué diffusé sur Twitter. Un homme de 51 ans s'est approché d'un officier des services secrets qui se tenait au coin de la 17e rue et de Pennsylvania Avenue, à un pâté de maisons de la Maison-Blanche. Le suspect a dit à l'officier qu'il avait une arme et a couru «agressivement» vers lui, sortant un objet de ses vêtements. Il a ensuite pris une «position de tireur», comme s'il avait l'intention de tirer, et l'officier des services secrets lui a alors tiré une balle dans le torse.
Un «homme» et un «agent du Secret Service» ont été transportés vers un hôpital voisin, a ajouté l'agence fédérale, assurant qu'à «aucun moment» le complexe de la Maison-Blanche n'avait été violé.
(AIP)
tad/ask
«La police a tiré sur quelqu'un», a expliqué Donald Trump à son retour devant les journalistes. «Et le suspect est en route pour l'hôpital», a-t-il ajouté.
Le Secret Service a ensuite raconté en détail la scène dans un communiqué diffusé sur Twitter. Un homme de 51 ans s'est approché d'un officier des services secrets qui se tenait au coin de la 17e rue et de Pennsylvania Avenue, à un pâté de maisons de la Maison-Blanche. Le suspect a dit à l'officier qu'il avait une arme et a couru «agressivement» vers lui, sortant un objet de ses vêtements. Il a ensuite pris une «position de tireur», comme s'il avait l'intention de tirer, et l'officier des services secrets lui a alors tiré une balle dans le torse.
Un «homme» et un «agent du Secret Service» ont été transportés vers un hôpital voisin, a ajouté l'agence fédérale, assurant qu'à «aucun moment» le complexe de la Maison-Blanche n'avait été violé.
(AIP)
tad/ask