Niakara- La ville de Niakara (Centre-nord, région du Hambol) est en attente, depuis plus de trois semaines, de la mise sous tension des nouveaux lampadaires sur le long de la voie internationale, une situation qui plonge la portion de la Nationale A3 traversant la localité dans l'obscurité totale la nuit tombée.
Les 172 nouveaux lampadaires, munis certains de deux foyers lumineux, séparés de 25 mètres sur la voie internationale A3 dans la ville de Niakara, n'ont pas encore été allumés depuis l'achèvement de leur installation début juillet 2020.
La pose de ces 172 nouveaux lampadaires de 12 mètres de haut, munis de foyers lumineux avec des ampoules Led, avait été suivie de l'enlèvement de la dizaine d'anciens poteaux électriques, vieux d'environ 50 ans, qui éclairaient sommairement la voie.
La rénovation des installations électriques a lieu avec les travaux connexes du reprofilage lourd de l'axe Bouaké-Ferkessédougou long de 220 Km, un chantier routier d'envergure lancé par le gouvernement en novembre 2017.
"Le transformateur de courant électrique, qui anciennement alimentait les quelques vieux poteaux, ne peut pas supporter l'électricité nécessaire aux 172 nouveaux lampadaires", a soutenu un responsable de la Compagnie ivoirienne d'Électricité (CIE) interrogé par l'AIP, lundi 10 août 2020.
Depuis trois semaines maintenant, cette artère principale de la ville est plongée dans l'obscurité totale la nuit.
jbm/aaa/ask
Les 172 nouveaux lampadaires, munis certains de deux foyers lumineux, séparés de 25 mètres sur la voie internationale A3 dans la ville de Niakara, n'ont pas encore été allumés depuis l'achèvement de leur installation début juillet 2020.
La pose de ces 172 nouveaux lampadaires de 12 mètres de haut, munis de foyers lumineux avec des ampoules Led, avait été suivie de l'enlèvement de la dizaine d'anciens poteaux électriques, vieux d'environ 50 ans, qui éclairaient sommairement la voie.
La rénovation des installations électriques a lieu avec les travaux connexes du reprofilage lourd de l'axe Bouaké-Ferkessédougou long de 220 Km, un chantier routier d'envergure lancé par le gouvernement en novembre 2017.
"Le transformateur de courant électrique, qui anciennement alimentait les quelques vieux poteaux, ne peut pas supporter l'électricité nécessaire aux 172 nouveaux lampadaires", a soutenu un responsable de la Compagnie ivoirienne d'Électricité (CIE) interrogé par l'AIP, lundi 10 août 2020.
Depuis trois semaines maintenant, cette artère principale de la ville est plongée dans l'obscurité totale la nuit.
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