Abengourou - Le document de stratégie locale de lutte contre le travail des enfants dans la cacaoculture à Abengourou a été officiellement remis au préfet de la région de l’Indénié-Djuablin, jeudi 03 septembre 2020, par le forum des ONG et associations d’aide à l’enfance en difficulté à l’occasion d’une cérémonie à la salle de conférences de la préfecture d’Abengourou
Le plan stratégique de lutte locale contre le travail des enfants à Abengourou s’inscrit dans le cadre du projet « stratégie de plaidoyer pour lutter contre le travail des enfants dans la cacaoculture en Côte d’Ivoire ». Il est le résultat d’une étude menée dans les régions de l’Indénié-Djuablin et la Nawa par le forum des Ong et associations d’aide à l’enfance en difficulté et l’Ong ASA avec l’appui technique et financier de l’Ong Rainforest Alliance.
Le document présenté a été paraphé par les parties prenantes, à savoir les représentants des collectivités territoriales, de l’union des coopératives cacaoyères des comités villageoises de protection des enfants (CPE), représentants des Ong, les autorités coutumières, et des associations des femmes et de jeunes. Il contient la liste des travaux dangereux interdits aux enfants et les travaux socialisants admis, ainsi que toutes les conventions sur le travail des enfants.
Les acteurs de lutte contre le travail des enfants et le Forum des Ong et des associations d’aide à l’enfance en difficulté à travers son président Koffi Boitenin ont pris l’engagement d’œuvrer sans tricherie pour que les lois contre le travail des enfants soient effectivement appliquées à tous afin d’éradiquer le fléau.
« Pour cela, nous vous prions de la rendre opposable à tous les citoyens de l’Indénié-Djuablin par un arrêté préfectoral », a plaidé le représentant des sociétés coopératives Angaman Oi Angaman.
Le secrétaire général 2 de la préfecture d’Abengourou, Mayoga Camara, représentant le préfet de la région de l’Indénié-Djuablin, Fadi Ouattra, a rassuré sur le soutien du corps préfectoral et demandé que les décisions et engagements pris soient formellement appliqués pour le bien-être des enfants, pour la filière de cacao et pour l’économie ivoirienne.
Face aux critiques et menaces d’embargo sur le cacao ivoirien à cause du travail des enfants, la Côte d’Ivoire a créé le comité national de surveillance des actions de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants présidé par la première dame, Dominique Ouattara.
nam/ask
Le plan stratégique de lutte locale contre le travail des enfants à Abengourou s’inscrit dans le cadre du projet « stratégie de plaidoyer pour lutter contre le travail des enfants dans la cacaoculture en Côte d’Ivoire ». Il est le résultat d’une étude menée dans les régions de l’Indénié-Djuablin et la Nawa par le forum des Ong et associations d’aide à l’enfance en difficulté et l’Ong ASA avec l’appui technique et financier de l’Ong Rainforest Alliance.
Le document présenté a été paraphé par les parties prenantes, à savoir les représentants des collectivités territoriales, de l’union des coopératives cacaoyères des comités villageoises de protection des enfants (CPE), représentants des Ong, les autorités coutumières, et des associations des femmes et de jeunes. Il contient la liste des travaux dangereux interdits aux enfants et les travaux socialisants admis, ainsi que toutes les conventions sur le travail des enfants.
Les acteurs de lutte contre le travail des enfants et le Forum des Ong et des associations d’aide à l’enfance en difficulté à travers son président Koffi Boitenin ont pris l’engagement d’œuvrer sans tricherie pour que les lois contre le travail des enfants soient effectivement appliquées à tous afin d’éradiquer le fléau.
« Pour cela, nous vous prions de la rendre opposable à tous les citoyens de l’Indénié-Djuablin par un arrêté préfectoral », a plaidé le représentant des sociétés coopératives Angaman Oi Angaman.
Le secrétaire général 2 de la préfecture d’Abengourou, Mayoga Camara, représentant le préfet de la région de l’Indénié-Djuablin, Fadi Ouattra, a rassuré sur le soutien du corps préfectoral et demandé que les décisions et engagements pris soient formellement appliqués pour le bien-être des enfants, pour la filière de cacao et pour l’économie ivoirienne.
Face aux critiques et menaces d’embargo sur le cacao ivoirien à cause du travail des enfants, la Côte d’Ivoire a créé le comité national de surveillance des actions de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants présidé par la première dame, Dominique Ouattara.
nam/ask