Abidjan - Le président de l’ONG-Unie-Africa, Sako Aboubacar, a annoncé samedi 12 septembre 2020, à Abidjan, les premières activités de son organisation qui tourneront autour d’un planting « symbolique » de deux arbres du « pardon », le 26 septembre, dans la commune d’Abobo, qui a connu les pires affres de la crise post-électorale de 2010-2011.
Cette activité marquera le début des activités de l’ONG Unie-Africa qui veut faire de la médiation une affaire commune à chaque ivoirien dans son milieu de vie ou de travail.
« Tout comme les racines de l’arbre s’enracinent dans la terre, la paix doit s’enraciner dans l’esprit, le cœur et le comportement de chacun, de chaque ivoirien pour une véritable culture de paix », a fait savoir M. Sako, plus connu sous le pseudonyme de « Papa ministre », président d’Unie-Africa.
Anciennement manager d’artistes, Sako Aboubacar veut créer une école de formation de médiateurs rémunérés comme en France où il a lancé son ONG après une formation à la médiation.
Jeunes et adultes selon lui, « ne verront plus la médiation comme un luxe mais comme une denrée sociale majeure dans la pacification des relations sociales ». « Nous voulons, nous démarquer par un baromètre, à savoir la médiation, une école sociale que nous voulons vulgariser par des mécanismes de proximité afin de tuer les conflits sociaux dans l’œuf et penser résolument développement », a conclu M. Sako.
(AIP)
aaa/kam
Cette activité marquera le début des activités de l’ONG Unie-Africa qui veut faire de la médiation une affaire commune à chaque ivoirien dans son milieu de vie ou de travail.
« Tout comme les racines de l’arbre s’enracinent dans la terre, la paix doit s’enraciner dans l’esprit, le cœur et le comportement de chacun, de chaque ivoirien pour une véritable culture de paix », a fait savoir M. Sako, plus connu sous le pseudonyme de « Papa ministre », président d’Unie-Africa.
Anciennement manager d’artistes, Sako Aboubacar veut créer une école de formation de médiateurs rémunérés comme en France où il a lancé son ONG après une formation à la médiation.
Jeunes et adultes selon lui, « ne verront plus la médiation comme un luxe mais comme une denrée sociale majeure dans la pacification des relations sociales ». « Nous voulons, nous démarquer par un baromètre, à savoir la médiation, une école sociale que nous voulons vulgariser par des mécanismes de proximité afin de tuer les conflits sociaux dans l’œuf et penser résolument développement », a conclu M. Sako.
(AIP)
aaa/kam