Yamoussoukro – Les 25 sections nationales de l’association des enfants et jeunes travailleurs de Côte d’Ivoire (AEJT-CI) sont en assemblée générale à Yamoussoukro du lundi 14 au vendredi 18 septembre 2020 dans le but de redéfinir des stratégies de mobilisation dans la protection des enfants.
L’AEJT-CI est une organisation apolitique de promotion et de défense des droits de l’enfant constituée d’enfants et de jeunes dont l’âge varie entre 12 et 24 ans qui n’ont pas eu l’opportunité d’aller à l’école ou qui en sont ressortis trop vite pour diverses raisons.
Pour atteindre ses objectifs elle bénéficie de l’accompagnement de partenaires stratégiques comme Unicef et Save The Children.
Mais le bilan dressé depuis sa naissance en 1994 à ce jour ne satisfait pas encore ses animateurs qui entendent donner plus d’efficacité et de rayonnement à leur mouvement. Ainsi par exemple, la coordination nationale de l’AEJT-CI envisage de doter la structure d’un siège et un centre d’accueil « qui va donner plus d’opportunités aux enfants. Dans notre zone d’action nous rencontrons beaucoup d’enfants et nous avons cette difficulté de pouvoir les recueillir lors de leur transit et dans la recherche de leur famille ».
« En terme d’avancées, nous pouvons saluer la confiance de certains partenaires qui nous accompagnent, mais en terme de difficulté, il faut souligner quelques soucis de démarrage des activités dans certaines de nos sections », a indiqué le coordonnateur national de l’AEJT-CI, Wetto Yves Rolland.
Selon lui, il existe aussi des difficultés liées à la mobilité des enfants qui « cassent aussi le rythme de l’organisation dans certaines villes. Ce sont des défis que nous devons relever ».
Les membres de l’AEJT-CI sont généralement en apprentissage dans des ateliers de formation tels que la mécanique, la couture, la soudure et aussi dans le petit commerce.
(AIP)
gso/ask
L’AEJT-CI est une organisation apolitique de promotion et de défense des droits de l’enfant constituée d’enfants et de jeunes dont l’âge varie entre 12 et 24 ans qui n’ont pas eu l’opportunité d’aller à l’école ou qui en sont ressortis trop vite pour diverses raisons.
Pour atteindre ses objectifs elle bénéficie de l’accompagnement de partenaires stratégiques comme Unicef et Save The Children.
Mais le bilan dressé depuis sa naissance en 1994 à ce jour ne satisfait pas encore ses animateurs qui entendent donner plus d’efficacité et de rayonnement à leur mouvement. Ainsi par exemple, la coordination nationale de l’AEJT-CI envisage de doter la structure d’un siège et un centre d’accueil « qui va donner plus d’opportunités aux enfants. Dans notre zone d’action nous rencontrons beaucoup d’enfants et nous avons cette difficulté de pouvoir les recueillir lors de leur transit et dans la recherche de leur famille ».
« En terme d’avancées, nous pouvons saluer la confiance de certains partenaires qui nous accompagnent, mais en terme de difficulté, il faut souligner quelques soucis de démarrage des activités dans certaines de nos sections », a indiqué le coordonnateur national de l’AEJT-CI, Wetto Yves Rolland.
Selon lui, il existe aussi des difficultés liées à la mobilité des enfants qui « cassent aussi le rythme de l’organisation dans certaines villes. Ce sont des défis que nous devons relever ».
Les membres de l’AEJT-CI sont généralement en apprentissage dans des ateliers de formation tels que la mécanique, la couture, la soudure et aussi dans le petit commerce.
(AIP)
gso/ask