Abidjan- Le ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Bakayoko-Ly Ramata a déploré lundi 21 septembre 2020, les abus notamment les bastonnades, le viol et l'exploitation économique envers les enfants pendant la pandémie du Covid-19 où les établissements étaient fermés.
« Malheureusement, cette belle occasion de rapprochement au sein des familles devant permettre de mieux se connaitre et raffermir les liens, a été l’exposition de certains enfants à toutes formes d’abus allant de la simple bastonnade au viol en passant par une exploitation économique et à bien de privations. Nous devons plutôt renforcer leur protection afin qu’ils bénéficient de plus d’attention », a déclaré Pr Bakayoko, au cours de la cérémonie officielle de célébration de la 30ème édition de la Journée de l’enfant Africain, à Abidjan.
La Côte d’Ivoire a décidé de célébrer cette journée autour du thème « Respectons les droits des enfants afin de mieux les protéger en cette période de Covid-19 ». Ce thème vise à sensibiliser les populations sur les droits de l’enfant, à lutter contre la Covid-19, à inviter à la mise en place de stratégies efficaces pour le respect des droits de l’enfant et à appliquer rigoureusement les textes de loi en vigueur protégeant ces droits.
Le ministre a salué les partenaires techniques et financiers, la société civile, le secteur privé et particulièrement l’UNICEF qui apporte un appui dans la prise en charge des enfants vulnérables dans le contexte de la Covid-19.
Bakayoko-Ly Ramata a signifié que la mise en œuvre de Plans d’action nationaux successifs a permis d’enregistrer d’importantes avancées dans la réduction des facteurs de vulnérabilité des enfants et des familles. En dépit des efforts faits par le gouvernement pour promouvoir et préserver les droits des enfants, ceux-ci sont encore confrontés à de multiples formes de violences qui constituent des vulnérabilités permanentes qui se sont exacerbée avec la pandémie de la COVID-19.
La Journée de l’Enfant Africain a été instituée par l’Union Africaine (UA) à travers la résolution du 18 juillet 1990, afin de commémorer le massacre des élèves noirs à Soweto en Afrique du Sud, en juin 1976, à la suite d’une marche pacifique pour revendiquer le respect de leurs droits.
ena/ask
« Malheureusement, cette belle occasion de rapprochement au sein des familles devant permettre de mieux se connaitre et raffermir les liens, a été l’exposition de certains enfants à toutes formes d’abus allant de la simple bastonnade au viol en passant par une exploitation économique et à bien de privations. Nous devons plutôt renforcer leur protection afin qu’ils bénéficient de plus d’attention », a déclaré Pr Bakayoko, au cours de la cérémonie officielle de célébration de la 30ème édition de la Journée de l’enfant Africain, à Abidjan.
La Côte d’Ivoire a décidé de célébrer cette journée autour du thème « Respectons les droits des enfants afin de mieux les protéger en cette période de Covid-19 ». Ce thème vise à sensibiliser les populations sur les droits de l’enfant, à lutter contre la Covid-19, à inviter à la mise en place de stratégies efficaces pour le respect des droits de l’enfant et à appliquer rigoureusement les textes de loi en vigueur protégeant ces droits.
Le ministre a salué les partenaires techniques et financiers, la société civile, le secteur privé et particulièrement l’UNICEF qui apporte un appui dans la prise en charge des enfants vulnérables dans le contexte de la Covid-19.
Bakayoko-Ly Ramata a signifié que la mise en œuvre de Plans d’action nationaux successifs a permis d’enregistrer d’importantes avancées dans la réduction des facteurs de vulnérabilité des enfants et des familles. En dépit des efforts faits par le gouvernement pour promouvoir et préserver les droits des enfants, ceux-ci sont encore confrontés à de multiples formes de violences qui constituent des vulnérabilités permanentes qui se sont exacerbée avec la pandémie de la COVID-19.
La Journée de l’Enfant Africain a été instituée par l’Union Africaine (UA) à travers la résolution du 18 juillet 1990, afin de commémorer le massacre des élèves noirs à Soweto en Afrique du Sud, en juin 1976, à la suite d’une marche pacifique pour revendiquer le respect de leurs droits.
ena/ask