A l'occasion de la célébration annuelle de la journée des droits des filles, ce dimanche 11 octobre, dont le thème 2020 est : « Ma voix, l’égalité pour notre avenir », l’ONG MESSI (Mission des jeunes pour l’Education, la Santé, la Solidarité et l’Inclusion) et l’AFJCI (Association des Femmes Juristes de Côte d’Ivoire) membres d’Alliance Droits et Santé, lancent un appel à écouter les jeunes filles et à et agir en faveur des droits des filles et des adolescentes.
Dans le monde, « plus de 130 millions de jeunes ne vont pas à l’école dont 70 % sont des filles, 1 fille sur 7 dans les pays en développement se marie avant 15 ans, de 15 à 50 % des jeunes filles des pays en développement deviennent mères avant 18 ans, enfin, les complications liées à la grossesse sont la première cause de mortalité chez les filles entre 15 et 19 ans dans le monde. »
« La situation des filles et adolescentes n’est pas réjouissante. Leurs droits sont niés, violés en raison de la pauvreté, des conflits, ou tout simplement parce qu’elles sont des filles et des femmes » interpelle Alliance droit santé.
La Côte d’Ivoire, comme la plupart des pays en voie de développement se caractérise par la jeunesse de sa population. « Cette population est confrontée à des problèmes de santé notamment les IST, le VIH et le sida, les grossesses précoces et/ou non désirées, les avortements à risque, l’excision, les maladies parasitaires, infectieuses et non-infectieuses, l’usage des substances nocives, les troubles mentaux, les problèmes nutritionnels, les traumatismes par accident de la voie publique, l’alcoolisme etc. » déplore Alliance droit santé.
En Afrique de l’Ouest, les indicateurs de santé et droits sexuels de la procréation présentent encore de faibles améliorations, malgré les engagements pris par les pays de cette région.
Selon l’ONG, « n’ayant pas accès aux ressources et aux opportunités qui leur permettraient de s’épanouir et de devenir plus autonomes, ces filles et ces femmes ne peuvent envisager sereinement leur avenir ainsi que celui de leur famille. »
Il faut, aujourd’hui, selon elle, un changement de stratégies et d’approches en matière de santé de la procréation s’impose « si on veut réellement améliorer la vie et faire respecter les droits des filles, notamment les 10-14 ans, les filles déscolarisées, les adolescentes mariées, les filles mères, les filles vivant sans leurs parents. »
Alliance Droits et Santé sollicite donc tous les partenaires pour qu’ils agissent en faveur des filles et adolescentes. « Les adolescentes ont le droit à une vie sûre, épanouie, sans violences, en bonne santé et à une éducation de qualité, non seulement au cours de leurs années formatrices critiques, mais aussi une fois devenues femmes. »
PR
Dans le monde, « plus de 130 millions de jeunes ne vont pas à l’école dont 70 % sont des filles, 1 fille sur 7 dans les pays en développement se marie avant 15 ans, de 15 à 50 % des jeunes filles des pays en développement deviennent mères avant 18 ans, enfin, les complications liées à la grossesse sont la première cause de mortalité chez les filles entre 15 et 19 ans dans le monde. »
« La situation des filles et adolescentes n’est pas réjouissante. Leurs droits sont niés, violés en raison de la pauvreté, des conflits, ou tout simplement parce qu’elles sont des filles et des femmes » interpelle Alliance droit santé.
La Côte d’Ivoire, comme la plupart des pays en voie de développement se caractérise par la jeunesse de sa population. « Cette population est confrontée à des problèmes de santé notamment les IST, le VIH et le sida, les grossesses précoces et/ou non désirées, les avortements à risque, l’excision, les maladies parasitaires, infectieuses et non-infectieuses, l’usage des substances nocives, les troubles mentaux, les problèmes nutritionnels, les traumatismes par accident de la voie publique, l’alcoolisme etc. » déplore Alliance droit santé.
En Afrique de l’Ouest, les indicateurs de santé et droits sexuels de la procréation présentent encore de faibles améliorations, malgré les engagements pris par les pays de cette région.
Selon l’ONG, « n’ayant pas accès aux ressources et aux opportunités qui leur permettraient de s’épanouir et de devenir plus autonomes, ces filles et ces femmes ne peuvent envisager sereinement leur avenir ainsi que celui de leur famille. »
Il faut, aujourd’hui, selon elle, un changement de stratégies et d’approches en matière de santé de la procréation s’impose « si on veut réellement améliorer la vie et faire respecter les droits des filles, notamment les 10-14 ans, les filles déscolarisées, les adolescentes mariées, les filles mères, les filles vivant sans leurs parents. »
Alliance Droits et Santé sollicite donc tous les partenaires pour qu’ils agissent en faveur des filles et adolescentes. « Les adolescentes ont le droit à une vie sûre, épanouie, sans violences, en bonne santé et à une éducation de qualité, non seulement au cours de leurs années formatrices critiques, mais aussi une fois devenues femmes. »
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