Abidjan - La direction des déchets industriels et substances chimiques du ministère de l’Environnement et du Développement durable, a organisé, lundi 19 octobre 2020 à Abidjan, un atelier sur la procédure de mouvement transfrontalier de déchets, en vue de sensibiliser le personnel des douanes ivoiriennes.
« Cet atelier permettra de mettre à la disposition des douaniers des informations utiles afin de les aider à comprendre des informations utiles et comprendre les dispositions de la Convention Bâle, à jouer pleinement le rôle fondamental qui est le leur dans l’application de cette convention et par la même occasion, de protéger l’environnement et la santé des populations », a indiqué le directeur général du Développement Durable au ministère de l’Environnement, Dr Gustave Aboua.
Procédant à l’ouverture de cet atelier, le conseiller technique du directeur général des Douanes, Colonel Aboa Léopold Aké, a invité les douaniers à prendre une part active à cette formation, en vue de maîtriser les documents d’autorisation des transferts transfrontalier de déchets et de mieux apprécier les tâches qui leur sont dévolues dans le cadre de leurs contrôles aux frontières lorsqu’il s’agit des déchets dangereux ou pas.
« Le défi de la douane pour préserver la planète est donc le contrôle des mouvements transfrontaliers des déchets dangereux, de produits prohibés, des véhicules polluants, d’exploitation d’espèces protégées », a affirmé Dr Aboua.
Dans les années 1980, les conséquences épouvantables du trafic illicite de déchets dangereux dans les pays en développement notamment en Afrique ont entrainé une prise de conscience internationale sur la nécessité de contrôler les mouvements transfrontières de déchets. C’est dans ce contexte que sont nés la Convention de Bâle sur le contrôle des mouvements transfrontières de déchets dangereux et leur élimination et la Convention de Bamako sur l’interdiction d’importer en Afrique des déchets dangereux et sur le contrôle des mouvements transfrontières et la gestion des déchets dangereux en Afrique.
La Côte d’Ivoire a ratifié à ces deux conventions, a-t-on appris.
tg/fmo
« Cet atelier permettra de mettre à la disposition des douaniers des informations utiles afin de les aider à comprendre des informations utiles et comprendre les dispositions de la Convention Bâle, à jouer pleinement le rôle fondamental qui est le leur dans l’application de cette convention et par la même occasion, de protéger l’environnement et la santé des populations », a indiqué le directeur général du Développement Durable au ministère de l’Environnement, Dr Gustave Aboua.
Procédant à l’ouverture de cet atelier, le conseiller technique du directeur général des Douanes, Colonel Aboa Léopold Aké, a invité les douaniers à prendre une part active à cette formation, en vue de maîtriser les documents d’autorisation des transferts transfrontalier de déchets et de mieux apprécier les tâches qui leur sont dévolues dans le cadre de leurs contrôles aux frontières lorsqu’il s’agit des déchets dangereux ou pas.
« Le défi de la douane pour préserver la planète est donc le contrôle des mouvements transfrontaliers des déchets dangereux, de produits prohibés, des véhicules polluants, d’exploitation d’espèces protégées », a affirmé Dr Aboua.
Dans les années 1980, les conséquences épouvantables du trafic illicite de déchets dangereux dans les pays en développement notamment en Afrique ont entrainé une prise de conscience internationale sur la nécessité de contrôler les mouvements transfrontières de déchets. C’est dans ce contexte que sont nés la Convention de Bâle sur le contrôle des mouvements transfrontières de déchets dangereux et leur élimination et la Convention de Bamako sur l’interdiction d’importer en Afrique des déchets dangereux et sur le contrôle des mouvements transfrontières et la gestion des déchets dangereux en Afrique.
La Côte d’Ivoire a ratifié à ces deux conventions, a-t-on appris.
tg/fmo