Abidjan - Des leaders de jeunesse issus des clubs de paix, des universités et grandes écoles, du milieu des bloggeurs, des influenceurs et des partis politiques prennent part à une formation en vue de réduire les risques de violences liées aux discours d’incitation à la haine et à la diffusion de fausses informations à travers une implication active dans la prévention et la résolution des conflits.
Chargé de programme et formateur à l’ONG Verbatim, Institut de formation dans le domaine de la prévention et des conflits identitaires, Soualiho Sahandé a souligné que ce renforcement de capacité initié en partenariat avec par le Programme des Nations-unies pour le développement (PNUD) vise à appuyer les initiatives et campagnes de sensibilisation des clubs de paix dans les universités et grandes écoles pour la promotion des principes des droits de l’homme.
Cet atelier qui durera trois jours a également pour objectif de mener des activités de sensibilisation pour des élections apaisées, de prévention des discours de haine, et de promotion des droits humains et de créer des plateformes locales et autres mécanismes d’alerte précoce et de réponse aux rumeurs et messages de haine avec l’appui de l’Observatoire de la solidarité et de la cohésion sociale.
« Nous visons au terme de ce projet 1000 leaders de jeunesse sur la plateforme issus des quatre zones concernés par le projet à savoir Abidjan, Daloa, Bouaké et Korhogo. De ce fait, nous demandons aux apprenants de s’approprier les outils qui seront mis à leur disposition et de travailler à emmener le maximum des jeunes en Côte d’Ivoire à être des artisans de paix au profit de la cohésion sociale durable dans le pays», a fait savoir M. Sahandé lors de l'ouverture de l'atelier à Cocody, qui a enregistré la présence du représentant de la ministre de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de la lutte contre la pauvreté.
Cette formation intervient dans une période de campagne électorale quelque peu tendue en Côte d'Ivoire. Le pays est en proie à de nombreux foyers de tensions à Abidjan et à l’intérieur du pays suite à l'appel à la désobéissance civile lancé par des leaders de parti de l'opposition.
(AIP)
bsb/tm
Chargé de programme et formateur à l’ONG Verbatim, Institut de formation dans le domaine de la prévention et des conflits identitaires, Soualiho Sahandé a souligné que ce renforcement de capacité initié en partenariat avec par le Programme des Nations-unies pour le développement (PNUD) vise à appuyer les initiatives et campagnes de sensibilisation des clubs de paix dans les universités et grandes écoles pour la promotion des principes des droits de l’homme.
Cet atelier qui durera trois jours a également pour objectif de mener des activités de sensibilisation pour des élections apaisées, de prévention des discours de haine, et de promotion des droits humains et de créer des plateformes locales et autres mécanismes d’alerte précoce et de réponse aux rumeurs et messages de haine avec l’appui de l’Observatoire de la solidarité et de la cohésion sociale.
« Nous visons au terme de ce projet 1000 leaders de jeunesse sur la plateforme issus des quatre zones concernés par le projet à savoir Abidjan, Daloa, Bouaké et Korhogo. De ce fait, nous demandons aux apprenants de s’approprier les outils qui seront mis à leur disposition et de travailler à emmener le maximum des jeunes en Côte d’Ivoire à être des artisans de paix au profit de la cohésion sociale durable dans le pays», a fait savoir M. Sahandé lors de l'ouverture de l'atelier à Cocody, qui a enregistré la présence du représentant de la ministre de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de la lutte contre la pauvreté.
Cette formation intervient dans une période de campagne électorale quelque peu tendue en Côte d'Ivoire. Le pays est en proie à de nombreux foyers de tensions à Abidjan et à l’intérieur du pays suite à l'appel à la désobéissance civile lancé par des leaders de parti de l'opposition.
(AIP)
bsb/tm