Séguéla – L’anniversaire de la naissance du prophète Mahomet ou Maouloud n’a enregistré aucune célébration à Séguéla (Centre-ouest, région du Worodougou) pour diverses raisons évoquées par des fidèles et guides religieux rencontrés jeudi 29 octobre 2020 par l’AIP.
« Le COSIM nous a demandé d’attendre à cause de corona et d’élection », a justifié l’imam principal de la grande mosquée, el hadj Bakayoko Aboubacar promettant la célébration ‘’peut-être après les élections’’.
Les années antérieures, les fidèles musulmans de Séguéla et ceux de la diaspora célébraient le Maouloud dans les mosquées et autres lieux publics par des prières, la lecture du coran, des chants religieux et des poèmes à la gloire du prophète de l’Islam.
« Quand ça commence, on a un mois pour faire le Maouloud. Donc, nous on va faire ça après », s’est, pour sa part, exprimé un fidèle de la mosquée Wahabia, Sidibé Abou.
Outre la ferveur religieuse, le Maouloud était l’occasion de retrouvailles et de partage en famille pour les musulmans de Séguéla ainsi que ceux des leurs vivant à l’extérieur de la capitale de la région du Worodougou.
(AIP)
kkp/ask
« Le COSIM nous a demandé d’attendre à cause de corona et d’élection », a justifié l’imam principal de la grande mosquée, el hadj Bakayoko Aboubacar promettant la célébration ‘’peut-être après les élections’’.
Les années antérieures, les fidèles musulmans de Séguéla et ceux de la diaspora célébraient le Maouloud dans les mosquées et autres lieux publics par des prières, la lecture du coran, des chants religieux et des poèmes à la gloire du prophète de l’Islam.
« Quand ça commence, on a un mois pour faire le Maouloud. Donc, nous on va faire ça après », s’est, pour sa part, exprimé un fidèle de la mosquée Wahabia, Sidibé Abou.
Outre la ferveur religieuse, le Maouloud était l’occasion de retrouvailles et de partage en famille pour les musulmans de Séguéla ainsi que ceux des leurs vivant à l’extérieur de la capitale de la région du Worodougou.
(AIP)
kkp/ask