Des femmes plaident pour l'ouverture de l'Institut de formation et d'éducation féminine (IFEF) de Kong fermé depuis 2018 suite à l'admission des principales maîtresses d'éducation permanente à des concours professionnels.
Ouverte en 2012, l'IFEF de Kong a déjà formé trois grandes promotions d'auditrices dans divers domaines à savoir la pâtisserie, la couture, la broderie et l'alphabétisation.
La fermeture de cet instituts cause d'énormes désagréments à certaines femmes qui souhaitent encore bénéficier des prestations de cette école. "J'étais inscrite en deuxième année de couture à l'IFEF de Korhogo. Depuis deux ans que je suis ici avec mon époux suite à sa mutation, j'ai tout arrêté parce que l'école est fermée ici à Kong", témoigne Kouamé Monique, ménagère à Kong.
Pour la responsable des femmes Lobi de Kong, Shep Fanta, la réouverture de l'institut apportera un mieux-être à plusieurs femmes au foyer qui n'ont pas eu la chance d'être scolarisées. "J'ai des sœurs qui après quelques années passées à l'IFEF peuvent maintenant envoyer et lire un message via leurs téléphones portables", a-t-elle ajouté.
L'école est actuellement occupée par des forces de l'ordre suite à l'attaque de Kafolo. Ces auditrices souhaitent que le ministère de tutelle trouve une solution rapide à cette situation pour que les cours reprennent cette année a l'IFEF de Kong.
(AIP)
kkiv/tad/fmo
Ouverte en 2012, l'IFEF de Kong a déjà formé trois grandes promotions d'auditrices dans divers domaines à savoir la pâtisserie, la couture, la broderie et l'alphabétisation.
La fermeture de cet instituts cause d'énormes désagréments à certaines femmes qui souhaitent encore bénéficier des prestations de cette école. "J'étais inscrite en deuxième année de couture à l'IFEF de Korhogo. Depuis deux ans que je suis ici avec mon époux suite à sa mutation, j'ai tout arrêté parce que l'école est fermée ici à Kong", témoigne Kouamé Monique, ménagère à Kong.
Pour la responsable des femmes Lobi de Kong, Shep Fanta, la réouverture de l'institut apportera un mieux-être à plusieurs femmes au foyer qui n'ont pas eu la chance d'être scolarisées. "J'ai des sœurs qui après quelques années passées à l'IFEF peuvent maintenant envoyer et lire un message via leurs téléphones portables", a-t-elle ajouté.
L'école est actuellement occupée par des forces de l'ordre suite à l'attaque de Kafolo. Ces auditrices souhaitent que le ministère de tutelle trouve une solution rapide à cette situation pour que les cours reprennent cette année a l'IFEF de Kong.
(AIP)
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