Gagnoa, Un instituteur et son épouse ont péri samedi 14 novembre 2020, dans l’incendie de leur maison, au quartier Dioulabougou de Gagnoa, à 230 km d’Abidjan.
« Dommage, nous n’avons pas pu les sauver, même s’ils ne sont pas mort calcinés », a regretté un témoin du drame, dame Koné Béhira, voisine du couple décédé, expliquant que si l’homme a été sorti des flammes sans vie, sa conjointe, a rendu l’âme, un peu plus tard.
Munis d’une hache, les jeunes du quartier ont cassé un pan du mûr donnant sur l’extérieur et d’où venait les cris de la mère du chef de famille. Ils ont ainsi pu sortir le petit-fils de 11 ans et sa mémé, qui partageaient la même chambre.
Niamké Kouakou Eugène, 50 ans environ, est instituteur en service à l’Inspection de l’Enseignement Primaire et Scolaire 3 de Gagnoa. Il habitait une maison en location, qui est partie en fumée, avec tout son contenu, dont plusieurs bouteilles de gaz.
L’enquête de la police n’a pas encore permis de connaitre avec certitude, l’origine du sinistre.
(AIP)
dd/kam
« Dommage, nous n’avons pas pu les sauver, même s’ils ne sont pas mort calcinés », a regretté un témoin du drame, dame Koné Béhira, voisine du couple décédé, expliquant que si l’homme a été sorti des flammes sans vie, sa conjointe, a rendu l’âme, un peu plus tard.
Munis d’une hache, les jeunes du quartier ont cassé un pan du mûr donnant sur l’extérieur et d’où venait les cris de la mère du chef de famille. Ils ont ainsi pu sortir le petit-fils de 11 ans et sa mémé, qui partageaient la même chambre.
Niamké Kouakou Eugène, 50 ans environ, est instituteur en service à l’Inspection de l’Enseignement Primaire et Scolaire 3 de Gagnoa. Il habitait une maison en location, qui est partie en fumée, avec tout son contenu, dont plusieurs bouteilles de gaz.
L’enquête de la police n’a pas encore permis de connaitre avec certitude, l’origine du sinistre.
(AIP)
dd/kam