Gagnoa - La commémoration de la journée nationale de la paix, dimanche 15 novembre 2020, au foyer polyvalent de Gagnoa, a été l’occasion pour les autorités locales d’appeler à la tolérance et à la paix.
Selon le préfet de la région du Gôh, préfet du département de Gagnoa, Fofana Lancina, chaque habitant de la ville, doit faire preuve de tolérance, de patience et d’abnégation, pour acquérir cette « précieuse denrée », que constitue la paix, face aux nombreux obstacles, dont les incompréhensions et les conflits à surmonter.
Profitant de cette journée de la paix, il a salué les nombreuses initiatives en cours, des élus, cadres et responsables religieux, visant à apporter la paix et à décrisper le climat sociopolitique, devenu délétère suite aux récents évènements de violence qui ont effrité le tissu social dans la région.
« C’est une malédiction qu’il y ait des affrontements entre les autochtones à Gagnoa », s’est écrié l’octogénaire président du Conseil régional du Gôh, Joachim Djédjé Bagnon. Le niveau d’implication des mariages entre les fils et filles des communautés, ne devrait pas permettre, selon lui, ce type de conflit.
Par la voix du préfet de région, la secrétaire d’Etat auprès du garde des sceaux, ministre de la justice et des droits de l’homme, chargée des droits de l’homme, Aimée Zébéyoux, a appelé les populations à un dialogue franc et sincère, comme le recommande aujourd’hui, le chef de l’Etat, Alassane Ouattara.
(AIP)
Dd/ask
Selon le préfet de la région du Gôh, préfet du département de Gagnoa, Fofana Lancina, chaque habitant de la ville, doit faire preuve de tolérance, de patience et d’abnégation, pour acquérir cette « précieuse denrée », que constitue la paix, face aux nombreux obstacles, dont les incompréhensions et les conflits à surmonter.
Profitant de cette journée de la paix, il a salué les nombreuses initiatives en cours, des élus, cadres et responsables religieux, visant à apporter la paix et à décrisper le climat sociopolitique, devenu délétère suite aux récents évènements de violence qui ont effrité le tissu social dans la région.
« C’est une malédiction qu’il y ait des affrontements entre les autochtones à Gagnoa », s’est écrié l’octogénaire président du Conseil régional du Gôh, Joachim Djédjé Bagnon. Le niveau d’implication des mariages entre les fils et filles des communautés, ne devrait pas permettre, selon lui, ce type de conflit.
Par la voix du préfet de région, la secrétaire d’Etat auprès du garde des sceaux, ministre de la justice et des droits de l’homme, chargée des droits de l’homme, Aimée Zébéyoux, a appelé les populations à un dialogue franc et sincère, comme le recommande aujourd’hui, le chef de l’Etat, Alassane Ouattara.
(AIP)
Dd/ask