Abidjan - La trentième édition mondiale de la célébration des seize jours d’activismes pour la lutte contre les Violences Basées sur le Genre (VBG), démarre mercredi 25 novembre 2020 pour s’achever jeudi 10 décembre, autour du thème mondial « Oranger le monde, financer, répondre, prévenir, collecter », rapporte un communiqué de l’ONG EngenderHealth, transmis lundi à l’AIP.
En Côte d’Ivoire, le taux de prévalence des mutilations génitales féminines est de 73.3 % en zone rurale et de 30,8 % en zone urbaine, selon une enquête menée en 2016. Quant aux violences conjugales, une enquête de l’ONG CPDEFM publiée en 2019 fait état de 70 % de femmes victimes de VBG à Abidjan.Toutefois, le processus de prise en charge des victimes demeure jusqu’ici insuffisamment traité, note le communiqué. Les données indiquent que sur 2744 cas rapportés, 1926 (70,19 %) ont été perpétrés en zone urbaine et 818 soit 29,81 % en milieu rural.
Ainsi, durant ces seize jours d’activisme, l’ONG EngenderHealth, dont la mission est de promouvoir et de défendre la question du Genre ainsi que les droits en santé sexuelle et reproductive, tiendra un panel virtuel sur les VBG, mercredi 9 décembre, en plus des actions de sensibilisation, de formation et d’information. Elle invite de ce fait tous les internautes à prendre part à ce panel.
Pour l’ONG internationale, ces seize jours d’activisme sont la période idéale pour mettre en lumière la situation des VBG, avec pour objectif, de contribuer à l’amélioration des connaissances sur la prise en charge des VBG en Côte d’Ivoire. Ceci, par le renforcement des capacités des populations sur la typologie, la spécificité, les méthodes de référencement des cas signalés et la prise en charge psychosociale, médicale et judiciaire.
Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), les VBG se définissent comme la menace ou l’utilisation intentionnelle de la force physique ou du pouvoir contre soi-même, contre autrui ou contre un groupe ou une communauté qui entraîne ou risque fortement d’entraîner un traumatisme, un décès, des dommages psychologiques, des privations.
(AIP)
eaa/ask
En Côte d’Ivoire, le taux de prévalence des mutilations génitales féminines est de 73.3 % en zone rurale et de 30,8 % en zone urbaine, selon une enquête menée en 2016. Quant aux violences conjugales, une enquête de l’ONG CPDEFM publiée en 2019 fait état de 70 % de femmes victimes de VBG à Abidjan.Toutefois, le processus de prise en charge des victimes demeure jusqu’ici insuffisamment traité, note le communiqué. Les données indiquent que sur 2744 cas rapportés, 1926 (70,19 %) ont été perpétrés en zone urbaine et 818 soit 29,81 % en milieu rural.
Ainsi, durant ces seize jours d’activisme, l’ONG EngenderHealth, dont la mission est de promouvoir et de défendre la question du Genre ainsi que les droits en santé sexuelle et reproductive, tiendra un panel virtuel sur les VBG, mercredi 9 décembre, en plus des actions de sensibilisation, de formation et d’information. Elle invite de ce fait tous les internautes à prendre part à ce panel.
Pour l’ONG internationale, ces seize jours d’activisme sont la période idéale pour mettre en lumière la situation des VBG, avec pour objectif, de contribuer à l’amélioration des connaissances sur la prise en charge des VBG en Côte d’Ivoire. Ceci, par le renforcement des capacités des populations sur la typologie, la spécificité, les méthodes de référencement des cas signalés et la prise en charge psychosociale, médicale et judiciaire.
Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), les VBG se définissent comme la menace ou l’utilisation intentionnelle de la force physique ou du pouvoir contre soi-même, contre autrui ou contre un groupe ou une communauté qui entraîne ou risque fortement d’entraîner un traumatisme, un décès, des dommages psychologiques, des privations.
(AIP)
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