Karamoko Mariam alias ‘’Mamba’’, 21 ans, mère d’un enfant, a écopé d’une peine de sept jours d’emprisonnement prononcée par les juges de la section de tribunal de Séguéla par devant lesquels elle a comparu mercredi 2 décembre 2020 pour vol portant sur un téléphone portable commis le 7 septembre à Bouaké.
De l’énoncé des faits relatés par des témoins qui se sont présentés à la barre mais qui n’ont pas souhaité se constituer partie civile, il ressort que la prévenue, prétextant être à la recherche d’un emploi de fille de ménage, se présente au domicile d’une dame qui, à son tour, lui fait savoir qu’elle ne peut l’aider.
Faisant semblant d’être affectée par cette réponse négative, Karamoko Mariam demande cependant de l’eau à boire. Et c’est pendant que son interlocutrice s’exécute qu’elle profite d’un moment d’inattention pour soustraire frauduleusement le téléphone portable en charge et déposé sur une chaise.
Elle retourne à Mankono d’où elle était venue avec son butin et ne daigne pas répondre aux incessants appels lancés sur le téléphone jusqu’à ce que les policiers ayant tracé l’appareil lui mettent le grappin dessus.
Après avoir reconnu les faits de vol tant à l’instruction qu’à l’audience correctionnelle des flagrants délits, Karamoko Mariam a été condamnée, outre à la peine privative de liberté, à 300 000 francs d’amende, à cinq années de privation des droits prévus à l’article 66 du code pénal et à cinq autres années d’interdiction de paraître sur l’ensemble du territoire national, à l’exception de son lieu de naissance.
(AIP)
De l’énoncé des faits relatés par des témoins qui se sont présentés à la barre mais qui n’ont pas souhaité se constituer partie civile, il ressort que la prévenue, prétextant être à la recherche d’un emploi de fille de ménage, se présente au domicile d’une dame qui, à son tour, lui fait savoir qu’elle ne peut l’aider.
Faisant semblant d’être affectée par cette réponse négative, Karamoko Mariam demande cependant de l’eau à boire. Et c’est pendant que son interlocutrice s’exécute qu’elle profite d’un moment d’inattention pour soustraire frauduleusement le téléphone portable en charge et déposé sur une chaise.
Elle retourne à Mankono d’où elle était venue avec son butin et ne daigne pas répondre aux incessants appels lancés sur le téléphone jusqu’à ce que les policiers ayant tracé l’appareil lui mettent le grappin dessus.
Après avoir reconnu les faits de vol tant à l’instruction qu’à l’audience correctionnelle des flagrants délits, Karamoko Mariam a été condamnée, outre à la peine privative de liberté, à 300 000 francs d’amende, à cinq années de privation des droits prévus à l’article 66 du code pénal et à cinq autres années d’interdiction de paraître sur l’ensemble du territoire national, à l’exception de son lieu de naissance.
(AIP)