Bouaké - Une vingtaine d’animateurs, issus des radios communautaires de Bouaké, ont pris part jeudi 17 et vendredi 18 décembre 2020 à un atelier de renforcement des capacités sur les différentes formes de violences basées sur le genre organisé par la Fondation Gnitrésor avec l’appui du Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA).
Il s’agissait d’améliorer les connaissances de ces acteurs des médias de proximité sur les VBG à l’égard des femmes pour favoriser leur implication active dans l’action préventive à travers des programmes d’IEC. Toute chose qui, de l’avis de la présidente-fondatrice de cette ONG humanitaire, Traoré Aminata, peut participer à des changements positifs dans la lutte contre les VBG.
L’accent a donc été mis, au cours de ces deux jours de travaux, sur les différents types de VBG à l’égard des femmes, leurs conséquences et les différentes voies de recours contre ce phénomène, notamment, les recours juridiques, judiciaires et médicaux.
Les formateurs ont, également, axé leurs interventions sur la prise en charge des victimes des violences basées sur le genre, notamment, la prise en charge psycho-sociale, médicale, juridique, judiciaire et économique.
Munis de tous ces acquis, les animateurs des radios communautaires de Bouaké devraient être capables, au sortir de cet atelier, de favoriser le débat autour de la perception de la violence à l’égard des femmes dans notre société. Ils devraient également être capables de mener des campagnes périodiques de communication et de sensibilisation sur le phénomène en collaboration avec les acteurs de la société civile.
(AIP)
rkk
Il s’agissait d’améliorer les connaissances de ces acteurs des médias de proximité sur les VBG à l’égard des femmes pour favoriser leur implication active dans l’action préventive à travers des programmes d’IEC. Toute chose qui, de l’avis de la présidente-fondatrice de cette ONG humanitaire, Traoré Aminata, peut participer à des changements positifs dans la lutte contre les VBG.
L’accent a donc été mis, au cours de ces deux jours de travaux, sur les différents types de VBG à l’égard des femmes, leurs conséquences et les différentes voies de recours contre ce phénomène, notamment, les recours juridiques, judiciaires et médicaux.
Les formateurs ont, également, axé leurs interventions sur la prise en charge des victimes des violences basées sur le genre, notamment, la prise en charge psycho-sociale, médicale, juridique, judiciaire et économique.
Munis de tous ces acquis, les animateurs des radios communautaires de Bouaké devraient être capables, au sortir de cet atelier, de favoriser le débat autour de la perception de la violence à l’égard des femmes dans notre société. Ils devraient également être capables de mener des campagnes périodiques de communication et de sensibilisation sur le phénomène en collaboration avec les acteurs de la société civile.
(AIP)
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