« Un processus pour aider à faire entendre la voix des uns et des autres », déclarait Koné Mariama, la présidente du comité technique du partenariat pour un gouvernement ouvert (OGP), le 17 décembre dernier lors de la conférence de presse en ligne qu’elle animait.
En effet, depuis le 9 décembre ont été lancées les consultations en ligne pour recueillir les avis et préoccupations des populations sur les questions de transparence dans la gestion des affaires publiques, de corruption, d’exploitation des technologies de l’information dans le but de renforcer la gouvernance en Côte d’Ivoire.
Au final, un certain nombre d’engagements sera élaboré avec les administrations concernées pour répondre à ces préoccupations dans le cadre du plan d’action national 2020-2022.
A ce jour, les deux plans d’action nationaux (2016-2018 et 2018-2020) ont permis de prendre 25 engagements au total. Ce sont entre autres la publication des textes fiscaux et douaniers, des communications en conseil des ministres sur l’exécution trimestrielle du budget, la
création de l’université virtuelle de Côte d’Ivoire, la promotion de la loi d’accès à l’information d’intérêt public, la mise en place de cinq comités communaux de lutte contre le racket, l’élaboration et la publication d’un budget citoyen à partir de 2019 et la lutte contre la corruption et le racket dans les collectivités ivoiriennes.
« Pour avoir une meilleure gouvernance, la méthodologie adoptée est de produire un plan qui est un document qui permet de recenser l’ensemble des engagements que l’Etat va prendre sur la base des préoccupations exprimées par la société civile pour avancer dans la mise en oeuvre de la bonne gouvernance », a expliqué Koné Mariama. Le plan national, a-t-elle poursuivi, permet à l’Etat d’avoir un référentiel des actions qu’il compte mener pour résoudre un certain nombre de préoccupations relevées par les populations.
Des améliorations ont été détectées à la suite du premier plan d’action, a-telle fait savoir. Quant au deuxième plan, il est en pleine évaluation.
YK
En effet, depuis le 9 décembre ont été lancées les consultations en ligne pour recueillir les avis et préoccupations des populations sur les questions de transparence dans la gestion des affaires publiques, de corruption, d’exploitation des technologies de l’information dans le but de renforcer la gouvernance en Côte d’Ivoire.
Au final, un certain nombre d’engagements sera élaboré avec les administrations concernées pour répondre à ces préoccupations dans le cadre du plan d’action national 2020-2022.
A ce jour, les deux plans d’action nationaux (2016-2018 et 2018-2020) ont permis de prendre 25 engagements au total. Ce sont entre autres la publication des textes fiscaux et douaniers, des communications en conseil des ministres sur l’exécution trimestrielle du budget, la
création de l’université virtuelle de Côte d’Ivoire, la promotion de la loi d’accès à l’information d’intérêt public, la mise en place de cinq comités communaux de lutte contre le racket, l’élaboration et la publication d’un budget citoyen à partir de 2019 et la lutte contre la corruption et le racket dans les collectivités ivoiriennes.
« Pour avoir une meilleure gouvernance, la méthodologie adoptée est de produire un plan qui est un document qui permet de recenser l’ensemble des engagements que l’Etat va prendre sur la base des préoccupations exprimées par la société civile pour avancer dans la mise en oeuvre de la bonne gouvernance », a expliqué Koné Mariama. Le plan national, a-t-elle poursuivi, permet à l’Etat d’avoir un référentiel des actions qu’il compte mener pour résoudre un certain nombre de préoccupations relevées par les populations.
Des améliorations ont été détectées à la suite du premier plan d’action, a-telle fait savoir. Quant au deuxième plan, il est en pleine évaluation.
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