Abidjan- Le sous-directeur de l’Institut national de hygiène publique (INHP), Dr Coulibaly a exprimé la satisfaction à mi-parcours de la dimension sociale réussie par les travailleurs sociaux et les Organisations non gouvernementales (ONG) dans la lutte contre la pandémie du Coronavirus (Covid-19) depuis le mois de mars 2020.
« Les travailleurs sociaux ont montré un intérêt dans cette lutte contre la Covid-19. Ils ont réussi à tracer les contacts et à vaincre la résistance et la réticence de ces derniers en les emmenant à adhérer à la stratégie nationale qui est de tester, d’isoler, de traiter et tracer les contacts », a justifié Dr Coulibaly, lors de l’atelier bilan de l’équipe de coordination du ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant (MFFE) en charge de la gestion des cas et du suivi des contacts Covid-19.
Ces travailleurs sociaux et ONG grâce à qui les cas contacts ont été bien gérés de par leur isolement ont permis de gagner à 80 % la lutte contre la crise sanitaire. Ils doivent désormais intégrer la dynamique qui est en place pour la riposte aux épidémies, a laissé entendre le sous-directeur de l’INHP, mardi 29 décembre 2020, dans l’une des salles de l’Institut situé dans la commune de Treichville.
Coordonnatrice de cette cellule de gestion des cas et de suivi des contacts Covid-19 du MFFE, Dr Amethier Solange, a également salué le travail de ses collaborateurs qui, en parfaite harmonie avec le personnel du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique (MSHP), ont maîtrisé les cas contacts en réussissant à leur faire changer d’attitude face à la pandémie.
« Les travailleurs sociaux ont montré qu’ils étaient prêts à travailler sans grand moyen. Il revient maintenant au gouvernement et aux partenaires de donner un peu plus de moyens pour aller dans la communauté, parler aux gens et leur dire que la maladie existe. », a plaidé Dr Amethier, par ailleurs directrice coordonnatrice du Programme national de prise en charge des orphelins et autre enfants rendus vulnérables du fait du VIH/Sida (PN-OEV) logé au MFFE.
Le bilan a mi-parcours présenté lors de l’atelier rapporte que de mars à décembre 2020, 6069 cas et contacts de Covid-19 ont été traités auprès des éléments d’intervention rapide de l’INHP et districts sanitaires, 38 464 dans les box de dépistages et 183 246 personnes sensibilisées sur la pandémie par les travailleurs sociaux et les ONG issues des plateformes des Orphelins et enfants vulnérables (OEV) et de violences basées sur le genre (VGB).
Ce bilan indique également que 14 832 personnes ont été référées vers les centres d’accueil et de dépistages, 4894 kits alimentaires et 7479 kits sanitaires ont été distribués aux familles vulnérables par les travailleurs sociaux.
bsb/fmo
« Les travailleurs sociaux ont montré un intérêt dans cette lutte contre la Covid-19. Ils ont réussi à tracer les contacts et à vaincre la résistance et la réticence de ces derniers en les emmenant à adhérer à la stratégie nationale qui est de tester, d’isoler, de traiter et tracer les contacts », a justifié Dr Coulibaly, lors de l’atelier bilan de l’équipe de coordination du ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant (MFFE) en charge de la gestion des cas et du suivi des contacts Covid-19.
Ces travailleurs sociaux et ONG grâce à qui les cas contacts ont été bien gérés de par leur isolement ont permis de gagner à 80 % la lutte contre la crise sanitaire. Ils doivent désormais intégrer la dynamique qui est en place pour la riposte aux épidémies, a laissé entendre le sous-directeur de l’INHP, mardi 29 décembre 2020, dans l’une des salles de l’Institut situé dans la commune de Treichville.
Coordonnatrice de cette cellule de gestion des cas et de suivi des contacts Covid-19 du MFFE, Dr Amethier Solange, a également salué le travail de ses collaborateurs qui, en parfaite harmonie avec le personnel du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique (MSHP), ont maîtrisé les cas contacts en réussissant à leur faire changer d’attitude face à la pandémie.
« Les travailleurs sociaux ont montré qu’ils étaient prêts à travailler sans grand moyen. Il revient maintenant au gouvernement et aux partenaires de donner un peu plus de moyens pour aller dans la communauté, parler aux gens et leur dire que la maladie existe. », a plaidé Dr Amethier, par ailleurs directrice coordonnatrice du Programme national de prise en charge des orphelins et autre enfants rendus vulnérables du fait du VIH/Sida (PN-OEV) logé au MFFE.
Le bilan a mi-parcours présenté lors de l’atelier rapporte que de mars à décembre 2020, 6069 cas et contacts de Covid-19 ont été traités auprès des éléments d’intervention rapide de l’INHP et districts sanitaires, 38 464 dans les box de dépistages et 183 246 personnes sensibilisées sur la pandémie par les travailleurs sociaux et les ONG issues des plateformes des Orphelins et enfants vulnérables (OEV) et de violences basées sur le genre (VGB).
Ce bilan indique également que 14 832 personnes ont été référées vers les centres d’accueil et de dépistages, 4894 kits alimentaires et 7479 kits sanitaires ont été distribués aux familles vulnérables par les travailleurs sociaux.
bsb/fmo