Les faits
Le 15, 16 et 17 janvier prochains, les éditeurs de presse de Côte d’Ivoire participeront aux travaux du 5ème congrès ordinaire de leur organisation, le GEPCI. Ce congrès procédera, notamment, aux toilettages des textes et au renouvellement des instances dirigeantes. Pour préparer cet important rendez-vous, le Bureau exécutif a mis en place un Comité d’organisation dont le rôle est d’aménager au plan matériel et logistique, les assises. Une liste d’entreprises de presse autorisées à participer à ce congrès a été diffusée via les réseaux sociaux. Selon nos informations, des dizaines d’autres entreprises sont exclues de ce congrès, faute, pour certaines, de s’être acquittées de leur droit d’adhésion et pour d’autres, d’être à jour des cotisations annuelles.
Notre analyse
Il est vrai, toute organisation repose sur des textes. En l’occurrence, le GEPCI a un Règlement intérieur qui précise clairement les conditions d’adhésion au Groupement. Cependant, en ce qui concerne les cotisations annuelles, les dispositions de l’article 5 du Règlement intérieur disposent : « Les cotisations sont versées au plus tard le 30 juin de l’année en cours ». Cette disposition est rarement appliquée, la quasi-totalité des entreprises de presse ayant payé leur cotisations 2020 dans le deuxième semestre de l’année. C’est dire que le Bureau a toujours fonctionné sur la base de la tolérance et de la flexibilité.
La jurisprudence lors des derniers congrès, montre que des entreprises ont été autorisées à participer aux travaux des 2ème, 3ème et 4ème Congrès, alors qu’elles s’étaient mises à jour de leur cotisation la veille ou le jour même de l’ouverture des travaux.
Dès lors, aucun argument ne pourrait amener, aujourd’hui, le Bureau exécutif à agir autrement. Bien plus, avec la crise sanitaire du Coronavirus qui frappe le monde entier, les difficultés financières connues de tous au niveau des entreprises de presse, devraient amener le bureau du GEPCI à plus de flexibilité. Cependant, des entreprises sont exclues du congrès alors qu’elles ont payé leur cotisation en fin d’année. Les finances de l’organisation étant insuffisantes, nous nous étonnons de ce que le Bureau et le Comité d’organisation refusent les cotisations des membres. Quel mal y a-t-il à autoriser les entreprises de presse à participer entièrement au congrès du moment où nous savons tous que la survie de notre organisation réside dans la cohésion et la solidarité ?
Notre position
Pour le candidat Zohoré Lassane, le congrès à venir doit être inclusif. Nous appelons donc le Bureau du GEPCI à se départir du parti-pris et à autoriser l’ensemble des entreprises de presse, membres de l’organisation, à s’acquitter de leur cotisation et à participer pleinement au congrès.
La direction de campagne du candidat Zohoré Lassane dénonce les manœuvres en cours du Comité d’organisation du congrès qui tend à se substituer au Bureau exécutif ou même au Bureau du congrès.
Le candidat Zohoré Lassane demande donc que la liste officielle des congressistes soit établie à l’issue d’un délai de mise à jour jusqu’au 15 janvier prochain.
La direction de campagne du candidat Zohoré Lassane reste vigilante et promet aux éditeurs, qu’elle mettra tout en œuvre pour un congrès inclusif et transparent. L’avenir du GEPCI en dépend.
Fait à Abidjan, le 8 janvier 2021
Pour la Direction de campagne
Le Directeur de campagne associé
Ouattara Siagnan
Le 15, 16 et 17 janvier prochains, les éditeurs de presse de Côte d’Ivoire participeront aux travaux du 5ème congrès ordinaire de leur organisation, le GEPCI. Ce congrès procédera, notamment, aux toilettages des textes et au renouvellement des instances dirigeantes. Pour préparer cet important rendez-vous, le Bureau exécutif a mis en place un Comité d’organisation dont le rôle est d’aménager au plan matériel et logistique, les assises. Une liste d’entreprises de presse autorisées à participer à ce congrès a été diffusée via les réseaux sociaux. Selon nos informations, des dizaines d’autres entreprises sont exclues de ce congrès, faute, pour certaines, de s’être acquittées de leur droit d’adhésion et pour d’autres, d’être à jour des cotisations annuelles.
Notre analyse
Il est vrai, toute organisation repose sur des textes. En l’occurrence, le GEPCI a un Règlement intérieur qui précise clairement les conditions d’adhésion au Groupement. Cependant, en ce qui concerne les cotisations annuelles, les dispositions de l’article 5 du Règlement intérieur disposent : « Les cotisations sont versées au plus tard le 30 juin de l’année en cours ». Cette disposition est rarement appliquée, la quasi-totalité des entreprises de presse ayant payé leur cotisations 2020 dans le deuxième semestre de l’année. C’est dire que le Bureau a toujours fonctionné sur la base de la tolérance et de la flexibilité.
La jurisprudence lors des derniers congrès, montre que des entreprises ont été autorisées à participer aux travaux des 2ème, 3ème et 4ème Congrès, alors qu’elles s’étaient mises à jour de leur cotisation la veille ou le jour même de l’ouverture des travaux.
Dès lors, aucun argument ne pourrait amener, aujourd’hui, le Bureau exécutif à agir autrement. Bien plus, avec la crise sanitaire du Coronavirus qui frappe le monde entier, les difficultés financières connues de tous au niveau des entreprises de presse, devraient amener le bureau du GEPCI à plus de flexibilité. Cependant, des entreprises sont exclues du congrès alors qu’elles ont payé leur cotisation en fin d’année. Les finances de l’organisation étant insuffisantes, nous nous étonnons de ce que le Bureau et le Comité d’organisation refusent les cotisations des membres. Quel mal y a-t-il à autoriser les entreprises de presse à participer entièrement au congrès du moment où nous savons tous que la survie de notre organisation réside dans la cohésion et la solidarité ?
Notre position
Pour le candidat Zohoré Lassane, le congrès à venir doit être inclusif. Nous appelons donc le Bureau du GEPCI à se départir du parti-pris et à autoriser l’ensemble des entreprises de presse, membres de l’organisation, à s’acquitter de leur cotisation et à participer pleinement au congrès.
La direction de campagne du candidat Zohoré Lassane dénonce les manœuvres en cours du Comité d’organisation du congrès qui tend à se substituer au Bureau exécutif ou même au Bureau du congrès.
Le candidat Zohoré Lassane demande donc que la liste officielle des congressistes soit établie à l’issue d’un délai de mise à jour jusqu’au 15 janvier prochain.
La direction de campagne du candidat Zohoré Lassane reste vigilante et promet aux éditeurs, qu’elle mettra tout en œuvre pour un congrès inclusif et transparent. L’avenir du GEPCI en dépend.
Fait à Abidjan, le 8 janvier 2021
Pour la Direction de campagne
Le Directeur de campagne associé
Ouattara Siagnan