Un membre d’une équipe de campagne, dans le village de Férémandougou, département d’Odienné, Mory Soumahoro, 58 ans, est décédé des suites d’une agression, à la veille du scrutin, mais pas en lien avec les élections législatives du samedi 6 mars comme allégué par son candidat sur une plateforme sociale.
De source sécuritaire, un quidam de passage à Férémandougou, lynché d’ailleurs après son acte, a agressé Mory Soumahoro, à l’aide d’un objet contondant, en fin d’après-midi, vendredi. Le coup a été tellement violent que ce dernier a été évacué au centre hospitalier régional d’Odienné, où il a rendu l’âme, samedi 6 mars à 5 heures du matin.
D’après les faits, l’agresseur, un parfait inconnu dans le village, devenu comme fou, a stationné, en bordure de route, une moto qu’il enfourchait puis a commencé à s’en prendre violemment à tout le monde, même aux véhicules de passage, en jetant des pierres. Il est tombé nez à nez avec la victime qu’il a assommé avec un énorme bois.
La foule l’a maîtrisé puis lynché avant de mettre le feu à sa moto. Aucune pièce d’identité n’a été découverte sur sa dépouille. Des pistes indiquent qu’il serait venu de Boko, un village distant de 35 km, pour disjoncter à Férémandougou, puis d'agresser mortellement un homme avant de finir lui-même victime de la justice populaire.
Le drame n’a aucunement impacté le scrutin législatif qui s’est déroulé dans une atmosphère paisible dans la circonscription 121.
Toutefois, le candidat, Drissa Traoré, un des quatre indépendants sur le total de cinq candidats briguant le siège de la circonscription 121 : Bako, Bougousso, Dioulatiédougou, sur sa page facebook, a présenté la victime comme son directeur de campagne, qui aurait été battu mortellement par des adversaires politiques.
(AIP)
kg/ask
De source sécuritaire, un quidam de passage à Férémandougou, lynché d’ailleurs après son acte, a agressé Mory Soumahoro, à l’aide d’un objet contondant, en fin d’après-midi, vendredi. Le coup a été tellement violent que ce dernier a été évacué au centre hospitalier régional d’Odienné, où il a rendu l’âme, samedi 6 mars à 5 heures du matin.
D’après les faits, l’agresseur, un parfait inconnu dans le village, devenu comme fou, a stationné, en bordure de route, une moto qu’il enfourchait puis a commencé à s’en prendre violemment à tout le monde, même aux véhicules de passage, en jetant des pierres. Il est tombé nez à nez avec la victime qu’il a assommé avec un énorme bois.
La foule l’a maîtrisé puis lynché avant de mettre le feu à sa moto. Aucune pièce d’identité n’a été découverte sur sa dépouille. Des pistes indiquent qu’il serait venu de Boko, un village distant de 35 km, pour disjoncter à Férémandougou, puis d'agresser mortellement un homme avant de finir lui-même victime de la justice populaire.
Le drame n’a aucunement impacté le scrutin législatif qui s’est déroulé dans une atmosphère paisible dans la circonscription 121.
Toutefois, le candidat, Drissa Traoré, un des quatre indépendants sur le total de cinq candidats briguant le siège de la circonscription 121 : Bako, Bougousso, Dioulatiédougou, sur sa page facebook, a présenté la victime comme son directeur de campagne, qui aurait été battu mortellement par des adversaires politiques.
(AIP)
kg/ask