La salle Mel Theodore de l’hôtel communal de cocody a abrité ce 08 mars 2021, les festivités marquant la journée internationale de la reconnaissance des droits de la femme.
Bien mises pour la circonstance, les dames sont venues de tous les endroits de la commune.
L’honneur est revenu en premier à Mme ADOU, Directrice du développement humain, à la mairie de Cocody et présidente du comité d’organisation, de dire le mot de bienvenue et ensuite situer l’importance de cette journée pour la femme.
Elle rendra hommage au maire Jean-Marc Yacé pour son attention soignée à l’endroit des femmes de Cocody. Pour preuve, Mme Adou fera observer qu’à la mairie, sur cinq chefs de services, quatre sont des femmes, deux sont adjoints au maire sur six pendant que 32% du conseil municipal est féminin.
Elle n’oubliera pas de rappeler la convention signée la semaine dernière par le maire et deux structures financières de la place pour assurer l’autonomisation financière des femmes de Cocody.
À sa suite, Mme Glwadys Konan, présidente de la fédération des associations des femmes de Cocody, témoignera de sa gratitude au maire pour la préséance toujours accordée aux dames et aux jeunes filles.
Puis vint le tour de parole de Mme Yolande Yacé, marraine de la cérémonie.
Dans un discours bien structuré, elle rappellera le rôle de pilier joué par la femme aussi bien que dans la cellule familiale que dans la société en général. C’est pourquoi elle mettra en lumière la mobilisation en première ligne des femmes dans la lutte contre la Covid-19, en tant que professionnelles de santé, pourvoyeuses de soins, innovatrices et organisatrices communautaires.
Elle appellera l’attention des mères, par exemple sur l’usage des réseaux sociaux qui selon son analyse, tendent à disloquer la cellule de famille en éloignant les différents membres, les uns des autres. D’où son exhortation aux femmes de reprendre les choses en mains à ce niveau.
Poursuivant, la marraine a indiqué que le 8 mars est une quête permanente pour obtenir une société plus égalitaire et harmonieuse.
" Chaque femme est un chemin qui mène à la vie. Chaque femme est une grande dame, une grande âme qui mérite respect et honneur en toute heure. Tous les jours devraient donc voir la célébration des femmes car nous sommes un mélange d’amour, de bonté, de force et de courage " , a conclu Mme Yolande Yacé sous des applaudissements nourris de la salle.
Quant au Maire Jean-Marc Yacé, il a ouvert son adresse en déclamant le célèbre poème "À ma mère" de Camara Laye, pour ainsi rendre hommage à toutes les femmes partout dans le monde, qui sont souvent victimes de violence et d’injustice. En conséquence, il demandera à tous de porter l’idéal de l’émancipation et de la liberté des femmes, en faisant reculer les violences conjugales toujours encore plus nombreuses. Aussi indiquera-t-il, que la société devrait tirer avantage de la femme en sa qualité d’ épicentre de la famille car " elle sait apaiser les tensions et calmer les cœurs".
Des qualités indispensables pour pacifier nos sociétés de plus en plus violentes, a conclu l’orateur.
Autre temps fort de la cérémonie, le panel co-animé par M. Stanislas Zézé, une grande figure du monde de la finance et son épouse, Jeanne Sissoko-Zézé, avec dans le rôle de modérateur, Ange Dagaret, Directeur de cabinet du Maire de Cocody.
Les panélistes ont instruit l’assistance sur l’entrepreneuriat,
En effet, prenant appui sur leurs parcours respectifs, Mme et Mme Zézé ont relevé les appréhensions et les difficultés liées à l’entrepreneuriat. Mais cela, confieront-ils, ne doit pas décourager les intéressés qui devront faire preuve d’abnégation et surtout d’audace pour gagner le pari, au final.
" Croyez-moi, inventer son futur demande un mental et un physique proches de celui d’un athlète de haut niveau. Il faut donc mettre toutes les chances de son côté pour y arriver" a recommandé Stanislas Zézé à la fin de son intervention.
Il faut noter que cette célébration du 8 mars a été rythmée par des intermèdes musicaux assurés par les artistes Pat Saco, Bilé Didier et Lato Crespino qui ont fait monter le mercure plus d’une fois.
Que dire du ballet des femmes, improvisé à l’initiative de la marraine, Yolande Yacé, sous le titre " Jerusalema " de la Sud-africaine Nonmcebo Zikode, et exécuté magistralement au point de transformer, le temps d’ une cérémonie, la salle Mel Théodore en une discothèque géante?
Tout simplement sublime.
Bien mises pour la circonstance, les dames sont venues de tous les endroits de la commune.
L’honneur est revenu en premier à Mme ADOU, Directrice du développement humain, à la mairie de Cocody et présidente du comité d’organisation, de dire le mot de bienvenue et ensuite situer l’importance de cette journée pour la femme.
Elle rendra hommage au maire Jean-Marc Yacé pour son attention soignée à l’endroit des femmes de Cocody. Pour preuve, Mme Adou fera observer qu’à la mairie, sur cinq chefs de services, quatre sont des femmes, deux sont adjoints au maire sur six pendant que 32% du conseil municipal est féminin.
Elle n’oubliera pas de rappeler la convention signée la semaine dernière par le maire et deux structures financières de la place pour assurer l’autonomisation financière des femmes de Cocody.
À sa suite, Mme Glwadys Konan, présidente de la fédération des associations des femmes de Cocody, témoignera de sa gratitude au maire pour la préséance toujours accordée aux dames et aux jeunes filles.
Puis vint le tour de parole de Mme Yolande Yacé, marraine de la cérémonie.
Dans un discours bien structuré, elle rappellera le rôle de pilier joué par la femme aussi bien que dans la cellule familiale que dans la société en général. C’est pourquoi elle mettra en lumière la mobilisation en première ligne des femmes dans la lutte contre la Covid-19, en tant que professionnelles de santé, pourvoyeuses de soins, innovatrices et organisatrices communautaires.
Elle appellera l’attention des mères, par exemple sur l’usage des réseaux sociaux qui selon son analyse, tendent à disloquer la cellule de famille en éloignant les différents membres, les uns des autres. D’où son exhortation aux femmes de reprendre les choses en mains à ce niveau.
Poursuivant, la marraine a indiqué que le 8 mars est une quête permanente pour obtenir une société plus égalitaire et harmonieuse.
" Chaque femme est un chemin qui mène à la vie. Chaque femme est une grande dame, une grande âme qui mérite respect et honneur en toute heure. Tous les jours devraient donc voir la célébration des femmes car nous sommes un mélange d’amour, de bonté, de force et de courage " , a conclu Mme Yolande Yacé sous des applaudissements nourris de la salle.
Quant au Maire Jean-Marc Yacé, il a ouvert son adresse en déclamant le célèbre poème "À ma mère" de Camara Laye, pour ainsi rendre hommage à toutes les femmes partout dans le monde, qui sont souvent victimes de violence et d’injustice. En conséquence, il demandera à tous de porter l’idéal de l’émancipation et de la liberté des femmes, en faisant reculer les violences conjugales toujours encore plus nombreuses. Aussi indiquera-t-il, que la société devrait tirer avantage de la femme en sa qualité d’ épicentre de la famille car " elle sait apaiser les tensions et calmer les cœurs".
Des qualités indispensables pour pacifier nos sociétés de plus en plus violentes, a conclu l’orateur.
Autre temps fort de la cérémonie, le panel co-animé par M. Stanislas Zézé, une grande figure du monde de la finance et son épouse, Jeanne Sissoko-Zézé, avec dans le rôle de modérateur, Ange Dagaret, Directeur de cabinet du Maire de Cocody.
Les panélistes ont instruit l’assistance sur l’entrepreneuriat,
En effet, prenant appui sur leurs parcours respectifs, Mme et Mme Zézé ont relevé les appréhensions et les difficultés liées à l’entrepreneuriat. Mais cela, confieront-ils, ne doit pas décourager les intéressés qui devront faire preuve d’abnégation et surtout d’audace pour gagner le pari, au final.
" Croyez-moi, inventer son futur demande un mental et un physique proches de celui d’un athlète de haut niveau. Il faut donc mettre toutes les chances de son côté pour y arriver" a recommandé Stanislas Zézé à la fin de son intervention.
Il faut noter que cette célébration du 8 mars a été rythmée par des intermèdes musicaux assurés par les artistes Pat Saco, Bilé Didier et Lato Crespino qui ont fait monter le mercure plus d’une fois.
Que dire du ballet des femmes, improvisé à l’initiative de la marraine, Yolande Yacé, sous le titre " Jerusalema " de la Sud-africaine Nonmcebo Zikode, et exécuté magistralement au point de transformer, le temps d’ une cérémonie, la salle Mel Théodore en une discothèque géante?
Tout simplement sublime.
