Abidjan - Des femmes du secteur de l’entrepreneuriat et du vivrier ont plaidé, mardi 30 mars 2021, au cours d’un panel, pour un accès simplifié aux différents fonds d’appui aux femmes, pour leur permettre de surmonter l’impact économique et social de la crise sanitaire du Covid-19.
« C’est vrai on nous dit qu’il y a des fonds qui sont disponibles mais il y a trop de conditions. Qu’on nous aide en réduisant les papiers à fournir pour l’accès aux fonds. Il faudrait que nos banques locales puissent nous aider et qu’elles fassent confiance aux femmes. On a des projets mais on pas d’accompagnement à propre dit », a fait savoir une panéliste du secteur du vivrier, Gisèle Koffi, au cours de la rencontre d’échanges sous le thème « Promotion économique et sociale des femmes face à la Covid-19 pour une Côte d’Ivoire plus égalitaire », au Plateau (Abidjan).
Soutenue par la panéliste Massogbé Touré Diabaté, par ailleurs vice-présidente de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), elle a signifié que les femmes entrepreneures ont besoin d’être accompagnées et d'avoir un appui dans l’exercice de leur fonction.
« Nous sommes des femmes entrepreneures, des boîtes à idées et on crée de la richesse. Les femmes ont toujours eu des soucis pour l’accès au financement. Il y a plusieurs fonds qui ont été mis en place mais il y a des barrières au point qu’on retombe au niveau zéro. Les documents qu’on demande font que l’accès aux fonds est difficile. Tout ce qu’on demande c’est de simplifier vraiment l’accès au fonds pour voir comment on peut arriver à atteindre la cible, c’est vraiment important», a-t-elle indiqué.
Pour Mme Touré, il faut des échanges avec les partenaires afin de trouver des solutions immédiates qui seront rapides, praticables et qui doivent avoir un impact direct sur la femme entrepreneure.
« Les femmes ont besoin qu’on les aide à pêcher qu’à manger parce qu’elles savent déjà faire quelque chose. Il faudrait qu’on leur fasse confiance, qu’on les aide à se faire confiance parce qu’elles ont osé entreprendre. Entreprendre, c’est un métier dur et incertain », a-t-elle insisté.
Ce panel est organisé dans le cadre des activités de la Journée internationale de la femme (JIF). Il a pour objectifs, selon la représentante du ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Assamoi Mariam, d’analyser l’impact économique et social de la pandémie sur les femmes des différents secteurs, analyser les actions, les décisions et mesures prises par le gouvernement et les acteurs pour apporter des réponses pour la résilience économique et sociale des populations notamment des femmes, faire des propositions pour un plan de riposte plus efficient plus égalitaire.
ena/fmo
« C’est vrai on nous dit qu’il y a des fonds qui sont disponibles mais il y a trop de conditions. Qu’on nous aide en réduisant les papiers à fournir pour l’accès aux fonds. Il faudrait que nos banques locales puissent nous aider et qu’elles fassent confiance aux femmes. On a des projets mais on pas d’accompagnement à propre dit », a fait savoir une panéliste du secteur du vivrier, Gisèle Koffi, au cours de la rencontre d’échanges sous le thème « Promotion économique et sociale des femmes face à la Covid-19 pour une Côte d’Ivoire plus égalitaire », au Plateau (Abidjan).
Soutenue par la panéliste Massogbé Touré Diabaté, par ailleurs vice-présidente de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), elle a signifié que les femmes entrepreneures ont besoin d’être accompagnées et d'avoir un appui dans l’exercice de leur fonction.
« Nous sommes des femmes entrepreneures, des boîtes à idées et on crée de la richesse. Les femmes ont toujours eu des soucis pour l’accès au financement. Il y a plusieurs fonds qui ont été mis en place mais il y a des barrières au point qu’on retombe au niveau zéro. Les documents qu’on demande font que l’accès aux fonds est difficile. Tout ce qu’on demande c’est de simplifier vraiment l’accès au fonds pour voir comment on peut arriver à atteindre la cible, c’est vraiment important», a-t-elle indiqué.
Pour Mme Touré, il faut des échanges avec les partenaires afin de trouver des solutions immédiates qui seront rapides, praticables et qui doivent avoir un impact direct sur la femme entrepreneure.
« Les femmes ont besoin qu’on les aide à pêcher qu’à manger parce qu’elles savent déjà faire quelque chose. Il faudrait qu’on leur fasse confiance, qu’on les aide à se faire confiance parce qu’elles ont osé entreprendre. Entreprendre, c’est un métier dur et incertain », a-t-elle insisté.
Ce panel est organisé dans le cadre des activités de la Journée internationale de la femme (JIF). Il a pour objectifs, selon la représentante du ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Assamoi Mariam, d’analyser l’impact économique et social de la pandémie sur les femmes des différents secteurs, analyser les actions, les décisions et mesures prises par le gouvernement et les acteurs pour apporter des réponses pour la résilience économique et sociale des populations notamment des femmes, faire des propositions pour un plan de riposte plus efficient plus égalitaire.
ena/fmo