Abidjan - La directrice pays de l’ONUSIDA en Côte d’Ivoire, Brigitte Quenum, appelle à une synergie d’action dans la lutte contre la Covid-19 et le Vih.
« La lutte contre la Covid et le Vih, c’est le même combat, vous devez lutter contre ces pandémies en même temps », a soutenu, jeudi 15 avril 2021, Mme Quenum, à l’occasion d’un atelier de restitution de l’étude "Impact Covid-19 et Vih dans le secteur informel en Côte d’Ivoire ".
Les réponses ne doivent pas être séparées parce que ce sont des maladies qui se renforcent en termes d’impact négatif sur les individus qui sont touchés et donc c’est important de lutter contre les deux maladies ensemble », a-t-elle insisté.
Selon la directrice pays de l’ONUSIDA, une étude commanditée par l’organisation mondiale de la santé (OMS) et ONUSIDA, a montré que des risques de décès étaient beaucoup plus importants lorsque les services de prévention et de prises en charge du Vih dans le contexte de la Covid-19 n’étaient pas maintenus.
« Il faut des systèmes de santé résilients face aux épidémie multiples parce qu’on rentre dans une phase où, de plus en plus, on va être confronté à plus d’épidémie à la fois et il faut les gérer », a-t-elle ajouté.
(AIP)
apk/ask
« La lutte contre la Covid et le Vih, c’est le même combat, vous devez lutter contre ces pandémies en même temps », a soutenu, jeudi 15 avril 2021, Mme Quenum, à l’occasion d’un atelier de restitution de l’étude "Impact Covid-19 et Vih dans le secteur informel en Côte d’Ivoire ".
Les réponses ne doivent pas être séparées parce que ce sont des maladies qui se renforcent en termes d’impact négatif sur les individus qui sont touchés et donc c’est important de lutter contre les deux maladies ensemble », a-t-elle insisté.
Selon la directrice pays de l’ONUSIDA, une étude commanditée par l’organisation mondiale de la santé (OMS) et ONUSIDA, a montré que des risques de décès étaient beaucoup plus importants lorsque les services de prévention et de prises en charge du Vih dans le contexte de la Covid-19 n’étaient pas maintenus.
« Il faut des systèmes de santé résilients face aux épidémie multiples parce qu’on rentre dans une phase où, de plus en plus, on va être confronté à plus d’épidémie à la fois et il faut les gérer », a-t-elle ajouté.
(AIP)
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