Abidjan - Le ministre de la Communication, des Médias et de la Francophonie, Amadou Coulibaly a appelé, lundi 3 mai 2021, les patrons de presse à développer des stratégies et à respecter les règles de bonne gouvernance pour leur survie, tout en les rassurant du soutien de l’Etat, au cours de la célébration de la Journée mondiale de la liberté de la presse, au stade de la haute fréquence de la Radiodiffusion et télévision ivoirienne (RTI).
« La presse, ce sont des organes de presse, mais aussi et surtout des entreprises de presse qui doivent pouvoir respecter les règles de leur propre survie. Le soutien de l’Etat à la presse ne peut remplacer les stratégies de développement des entreprises de presse qui doivent être mises en œuvre par leurs gestionnaires, créateurs, fondateurs. Le gouvernement reste toujours décidé à faire bouger les lignes, à vous soutenir », a déclaré M. Coulibaly.
Il a aussi interpellé les journalistes sur les informations publiées qui doivent répondre à des exigences de qualité et de fiabilité, qui lui assurent une existence pérenne, non sans déplorer le fait que des informations diffusées font beaucoup de mal et mettent parfois la cohésion sociale à mal.
« Les journalistes doivent être les premiers défenseurs de ces normes de qualité. Notre pays, engagé dans la défense d’un journalisme de qualité, avec des acteurs sécurisés par des cadres juridiques, poursuit ses avancées dans la valorisation d’un journalisme professionnel. Plus que jamais, nous avons besoin de médias engagés pour le bien-être commun », a souligné le ministre en charge de la Communication.
Amadou Coulibaly a rassuré les organes de presse de la politique d’aide du gouvernement, annonçant qu’il projette d’élargir les attributions du Fonds de soutien et de développement de la presse (FSDP) afin qu’elles prennent en compte les médias audiovisuels et numériques.
A l’instar des autres pays du monde, les journalistes et professionnels de la communication ont célébré la Journée mondiale de la liberté de la presse par une marche, précédée d’un panel organisé jeudi 29 avril 2021 autour du thème « Je défends l’information comme bien public ».
ena/ask
« La presse, ce sont des organes de presse, mais aussi et surtout des entreprises de presse qui doivent pouvoir respecter les règles de leur propre survie. Le soutien de l’Etat à la presse ne peut remplacer les stratégies de développement des entreprises de presse qui doivent être mises en œuvre par leurs gestionnaires, créateurs, fondateurs. Le gouvernement reste toujours décidé à faire bouger les lignes, à vous soutenir », a déclaré M. Coulibaly.
Il a aussi interpellé les journalistes sur les informations publiées qui doivent répondre à des exigences de qualité et de fiabilité, qui lui assurent une existence pérenne, non sans déplorer le fait que des informations diffusées font beaucoup de mal et mettent parfois la cohésion sociale à mal.
« Les journalistes doivent être les premiers défenseurs de ces normes de qualité. Notre pays, engagé dans la défense d’un journalisme de qualité, avec des acteurs sécurisés par des cadres juridiques, poursuit ses avancées dans la valorisation d’un journalisme professionnel. Plus que jamais, nous avons besoin de médias engagés pour le bien-être commun », a souligné le ministre en charge de la Communication.
Amadou Coulibaly a rassuré les organes de presse de la politique d’aide du gouvernement, annonçant qu’il projette d’élargir les attributions du Fonds de soutien et de développement de la presse (FSDP) afin qu’elles prennent en compte les médias audiovisuels et numériques.
A l’instar des autres pays du monde, les journalistes et professionnels de la communication ont célébré la Journée mondiale de la liberté de la presse par une marche, précédée d’un panel organisé jeudi 29 avril 2021 autour du thème « Je défends l’information comme bien public ».
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