Abidjan- Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Adama Diawara, a indiqué que le volet " priorités partagées " du projet de manifeste pour une diplomatie scientifique francophone, élaboré par l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF), correspond à un ensemble de propositions pour la résolution des problèmes systémiques.
Il s’exprimait à l’ouverture de la 2ème édition de la Semaine mondiale de la Francophonie scientifique qui se tient du 25 au 28 octobre 2022 au Caire, en Égypte.
Au nom de ses homologues, Adama Diawara a salué l’initiative de l’AUF pour ce projet de manifeste et pour l’organisation de cette deuxième édition de la Semaine mondiale de la Francophonie scientifique.
Selon lui, malgré les politiques mises en œuvre par le gouvernement ivoirien, le sous-secteur enseignement supérieur-recherche scientifique, à l’image de ceux des autres gouvernements ouest-africains, reste confronté à d’énormes défis.
C’est pourquoi, il a fait remarquer que certaines propositions visant à aider à résoudre les défis du système d’Enseignement supérieur et de Recherche scientifique sont déjà en cours d’implémentation par le département ministériel dont il a la charge.
Il a rappelé la mission principale assignée par le Président Alassane Ouattara au sous-secteur Enseignement supérieur-Recherche scientifique qui est de « former des ressources humaines de qualité, capables de contribuer efficacement au développement du pays, et développer une recherche scientifique capable d’apporter des réponses concrètes aux problèmes de développement qui se posent à la Nation ».