Onze morts, dont deux policiers à l'occasion du concert de Fally samedi soir 29 octobre à Kinshasa, c'est le bilan officiel des débordements qui auraient eu lieu dans et autour du stade des Martyrs. Mais deux jours après les incidents, le flou persiste sur les circonstances, les responsabilités et le nombre même de ces décès.
Dès dimanche matin, le vice-ministre de l'Intérieur reconnaissait que 2 des 11 victimes étaient des policiers, dont un s'était blessé avec son arme. Daniel Asselo n'en incriminait pas moins l'organisateur du concert : il est activement recherché et « il doit être puni » parce qu'« il est allé au-delà de la capacité du stade », disait-il.
Aujourd'hui, le manager de Fally,... suite de l'article sur RFI