Abidjan,Un Groupe de plaidoyer pour la révision annuelle de la liste électorale (GPRLE) salue l’effectivité du processus d’enrôlement et de révision de la liste électorale qui s’est déroulée sans incident majeur, du 19 novembre au 20 décembre 2022 sur l’ensemble du territoire et à l’extérieur pour la diaspora et souhaite qu'il n'enregistre aucune violence susceptible de causer la mort.
Le Groupe de plaidoyer note « un déroulé généralement apaisé et participatif mais regrette la survenance de quelques incidents qui ont pu être heureusement circonscrits à temps » et appelle à « zéro mort » tout au long du processus.
A ce titre, il rappelle la nécessité d’œuvrer à plus de transparence et l’urgente nécessité pour tous et chacun de s’approprier le processus jusqu’à son terme.
Le GPRLE invite donc les partis et groupements politiques à se départir de toute récupération « politicienne » du processus qui se veut citoyen et libre, les organisations de la société civile à continuer de mener des initiatives visant à une meilleure compréhension du processus par les populations, les populations à se départir de tous actes allant dans le sens de l’achat de leurs voix, tout en restant en alerte pour les étapes à venir.
Le gouvernement devrait, à son avis, à faire de la RLE une tradition annuelle pour le renforcement des acquis démocratiques, la CEI mener le processus à son terme, pour la production d’une liste électorale consensuelle, pour la production d’une liste électorale consensuelle, gage d’élections libres, transparentes, équitables et apaisées.
Depuis septembre 2021, le GPRLE conduit, auprès de toutes les parties prenantes aux élections en Côte d’Ivoire, un plaidoyer pour la révision annuelle de la liste électorale afin que la CEI mette à jour la liste électorale pour l’année 2021 et pour les années à venir conformément aux articles 6 et 11 de l’Ordonnance n°2020-356 du 8 avril 2020 portant modification du Code électoral.
Côte d’Ivoire-AIP/ Plaidoyer d’observateurs pour « zéro mort » lors du processus de révision de la liste électorale
Abidjan, 30 déc 2022 (AIP)- Un Groupe de plaidoyer pour la révision annuelle de la liste électorale (GPRLE) salue l’effectivité du processus d’enrôlement et de révision de la liste électorale qui s’est déroulée sans incident majeur, du 19 novembre au 20 décembre 2022 sur l’ensemble du territoire et à l’extérieur pour la diaspora.
Le Groupe de plaidoyer note « un déroulé généralement apaisé et participatif mais regrette la survenance de quelques incidents qui ont pu être heureusement circonscrits à temps » et appelle à « zéro mort » tout au long du processus.
A ce titre, il rappelle la nécessité d’œuvrer à plus de transparence et l’urgente nécessité pour tous et chacun de s’approprier le processus jusqu’à son terme.
Le GPRLE invite donc les partis et groupements politiques à se départir de toute récupération « politicienne » du processus qui se veut citoyen et libre, les organisations de la société civile à continuer de mener des initiatives visant à une meilleure compréhension du processus par les populations, les populations à se départir de tous actes allant dans le sens de l’achat de leurs voix, tout en restant en alerte pour les étapes à venir.
Le gouvernement devrait, à son avis, à faire de la RLE une tradition annuelle pour le renforcement des acquis démocratiques, la CEI mener le processus à son terme, pour la production d’une liste électorale consensuelle, pour la production d’une liste électorale consensuelle, gage d’élections libres, transparentes, équitables et apaisées.
Depuis septembre 2021, le GPRLE conduit, auprès de toutes les parties prenantes aux élections en Côte d’Ivoire, un plaidoyer pour la révision annuelle de la liste électorale afin que la CEI mette à jour la liste électorale pour l’année 2021 et pour les années à venir conformément aux articles 6 et 11 de l’Ordonnance n°2020-356 du 8 avril 2020 portant modification du Code électoral.
Le Groupe de plaidoyer pour la Révision de la liste électorale (GPRLE) comprend CIVIS Côte d’Ivoire, Citoyens & Participation, l’Association des femmes juristes de Côte d’Ivoire (AFJCI), la Fondation Serenti, Citoyenne engagée pour un leadership et la démocratie Côte d’Ivoire (CELDCI), le Réseau des femmes pour le Droits humains (RFDH), Agir pour la démocratie la justice et la liberté en Côte d’Ivoire (ADJL-CI) ainsi que le Réseau des éducateurs aux Droits de l’homme et au genre (REDHG).
(AIP)
aaa/tm
