Le Vice-Président de la République, M. Tiémoko Meyliet KONE, a échangé, ce mercredi 8 novembre 2023, au Palais de la Présidence de la République, avec la Directrice des Opérations de la Banque Mondiale pour la Côte d’Ivoire, le Togo, le Bénin et la Guinée, Mme Marie-Chantal UWANYILIGIRA.
Mme Marie-Chantal UWANYILIGIRA a indiqué que sa présence au Palais, ce jour, était avant tout une visite de courtoisie au Vice-Président de la République qu’elle rencontrait pour la première fois depuis sa prise de fonction en Côte d’Ivoire, en juillet 2023.
Ce fut aussi pour elle l’occasion d’échanger avec le Vice-Président de la République sur les relations de partenariat entre la Côte d’Ivoire et la Banque mondiale, ainsi que sur
la prochaine participation de notre pays à la 28e Conférence des Parties sur le Climat de l'ONU (COP28), prévue à la fin du mois de novembre 2023, à Dubaï, aux Emirats Arabes Unis.
La Directrice des Opérations de la Banque mondiale a estimé que les relations entre la Côte d’Ivoire et son institution sont excellentes, au regard du portefeuille de projets financés par la Banque mondiale dans notre pays qui se chiffre à 6,2 milliards de dollars. Elle s’est, en outre, réjouie de la très bonne exécution de ces projets qui couvrent plusieurs secteurs d’activités.
Soulignant le rôle moteur de l’économie ivoirienne au niveau régional, Mme UWANYILIGIRA a indiqué avoir évoqué avec le Vice-Président Tiémoko Meyliet KONE les voies et moyens d’un appui encore plus important de la Banque mondiale à notre pays et à l’ensemble des pays de la région touchés par les multiples crises qui secouent le monde depuis quelques années.
Le Vice-Président de la République et la Directrice des Opérations de la Banque Mondiale en Côte d’Ivoire ont enfin évoqué le sujet de la COP28 et la participation de la Côte d’Ivoire à ce grand rendez-vous de Dubaï.
Mme UWANYILIGIRA a salué le leadership de la Côte d’Ivoire en Afrique dans les discussions sur les changements climatiques, et s’est dite convaincue que la Côte d’Ivoire saura porter haut la voix de tout le continent à Dubaï, afin que l’ensemble des pays africains puissent bénéficier du financement de certains programmes en contrepartie de l’absorption du carbone émis par d’autres pays.