Le Comité technique OGP (CT-OGP) s’est réuni au cours d’un atelier le mercredi 20 décembre 2023, à Ivoire Trade Center, dans la commune de Cocody, à la suite de la 4ième réunion dudit Comité. A l’ordre du jour, le point des activités menées au titre de l’année 2023. L’atelier a été présidé par Madame Koné Mariama, Présidente du CT-OGP et a enregistré la participation des membres du Comité Technique et de personnes ressources OGP.
En effet, dans le cadre de la conduite du processus OGP en Côte d’Ivoire, plusieurs activités ont été planifiées au titre de l’année 2023. Celles-ci s’articulent autour de 4 grands axes que sont, (i) la vulgarisation et la sensibilisation à l’OGP et au PAN 4 ; (ii) le suivi de la mise en œuvre du PAN 4 ; (iii) la participation aux rencontres statutaires et enfin (iii) le renforcement de la gouvernance.
Afin d’atteindre les objectifs sus-cités, l’atelier a été l’occasion de passer en revue les activités réalisées au cours de l’année, en étroite collaboration avec la société civile et le secteur privé. Il s’agit notamment de la campagne menée au cours de la Semaine de l’OGP ; des visites effectuées auprès des Administrations et Institutions de l’Etat ; des consultations publiques (présentiel et webinaire) ; des rencontres avec les porteurs d’engagements ; de la participation aux rencontres internationales (Sommet mondial OGP, Séminaire régional PAGOF, rencontres en ligne).
Cet exercice a permis aux participants de relever les points à améliorer dans la conduite du Processus, de formuler des recommandations et d’envisager les perspectives pour l’année 2024.
A l’issue de la rencontre, l’on note un bilan plutôt satisfaisant dans la mise en œuvre des activités OGP, bien que des défis restent à relever.
L’Open Government Partnership (OGP) ou Partenariat pour un Gouvernement Ouvert (PGO) est, pour rappel, une Initiative qui vise à promouvoir essentiellement la transparence dans la gestion des affaires publiques.
Et ce, par une plus grande responsabilisation et implication des citoyens ; la lutte contre la corruption et l’exploitation des technologies de l’information et de la communication en vue de renforcer la qualité de la gouvernance, dans un esprit de collaboration avec les acteurs non étatiques, les organisations de la société civile et les médias.