Informer les participants sur le projet de suivi de l’évolution et d’amélioration de la gouvernance en Côte d’Ivoire; et présenter l’état de mise en œuvre et les perspectives de ce projet, tel est l’objectif de la première réunion du Comité de pilotage et du Comité technique du Projet de suivi de l’évolution et d’amélioration de la gouvernance en Côte d’Ivoire. Cette rencontre s’est tenue le mercredi 22 mai 2024 dans les locaux de la Haute Autorité de la bonne gouvernance. Présidé par le président de la Haute autorité pour la bonne gouvernance, cette réunion a permis d’opérer une mise à niveau informationnelle sur le projet de suivi de l’évolution et d’amélioration de la gouvernance en Côte d’Ivoire des points différents focaux du projet. Ces derniers ont eu l’occasion d’échanger sur l’état d’avancement de ce projet, après la présentation faite par le représentant de la cellule d’analyse des politiques économiques du CIRES, professeur Alban Ahourén directeur du CAPEC et Japan-Corner.
Selon le président de la HABG, il est important pour l’institution dont il a en charge, d’avoir des outils de mesure rigoureux, endogènes et valides de suivi de la gouvernance en Côte d’Ivoire. « En vue d’améliorer l’état de la gouvernance nationale, plusieurs institutions ont été mises en place ou renforcées, il s’agit notamment de la Cour des Comptes, la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance (HABG), l’Inspection Générale d’Etat, l’ex-ministère en charge de la Promotion de la Bonne Gouvernance et de la lutte contre la Corruption, le Pôle Pénal Economique et Financier, l’Agence de Recouvrement des Avoirs Criminels. Ainsi, afin de favoriser une plus grande visibilité des efforts nationaux en faveur de la bonne gouvernance et une prise en compte effective de l’évolution de l’environnement socio-économique et politique, il est apparu nécessaire pour la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance de disposer d’outils de mesure rigoureux, endogènes et valides de suivi de la gouvernance en Côte d’Ivoire », a expliqué le président Zoro bi Epiphane.
JEROME N’DRI