« Tout le monde ne peut pas être président de la République et en même temps… », a déclaré le Président Henri Konan Bédié, hier à Daoukro, à la célébration du 3ème anniversaire de l’Appel de Daoukro. Donnant des indications sur l’Appel de Daoukro qui a marqué l’histoire politique de la Côte d’Ivoire, l’ex-Chef de l’Etat a souligné que dans une alliance, il y a toujours des hauts et des bas. Cependant, dira-t-il, nous devons tous taire notre verbiage creux et aller vers un seul objectif. Avant lui, le parrain du 3ème anniversaire de l’Appel de Daoukro, le ministre Hamed Bakayoko a tenu à rendre un vibrant hommage du président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire, Henri Konan Bédié. « J’ai été marqué par votre calme et votre sérénité à toute épreuve. Vous êtes un homme politique qui a tout connu et qui a tout vécu… Mais toujours avec dignité calme et sérénité », a-t-il soutenu.
« Que le débat se fasse au sein de sa famille politique »
Mettant en garde contre le péril de la perte du pouvoir d’Etat par le Rhdp, il a affirmé : « Nous devons tous éviter la posture du moi ou du déluge. Moi ou rien. Moi ou la guerre. Nous devons tous éviter la politique de la terre brulé. Notre rassemblement est au-dessus de toute ambition personnelle. Nous devons voir l’intérêt du pays ». Cependant, il a souligné qu’il est d’avis avec tous ceux qui pensent que le débat est important au sein de sa famille politique (…) Mais que ce débat ne se fasse pas sur la place publique. A Alassane Ouattara et Henri Konan Bédié qu’il a qualifié de deux colonnes qui portent la famille des Houphouëtistes, il dira : « Ordonnez! Nous serons à vos côtés pour suivre la marche générationnelle des enfants d’Houphouët Boigny ».
D F B
Envoyé Spécial à Daoukro
« Que le débat se fasse au sein de sa famille politique »
Mettant en garde contre le péril de la perte du pouvoir d’Etat par le Rhdp, il a affirmé : « Nous devons tous éviter la posture du moi ou du déluge. Moi ou rien. Moi ou la guerre. Nous devons tous éviter la politique de la terre brulé. Notre rassemblement est au-dessus de toute ambition personnelle. Nous devons voir l’intérêt du pays ». Cependant, il a souligné qu’il est d’avis avec tous ceux qui pensent que le débat est important au sein de sa famille politique (…) Mais que ce débat ne se fasse pas sur la place publique. A Alassane Ouattara et Henri Konan Bédié qu’il a qualifié de deux colonnes qui portent la famille des Houphouëtistes, il dira : « Ordonnez! Nous serons à vos côtés pour suivre la marche générationnelle des enfants d’Houphouët Boigny ».
D F B
Envoyé Spécial à Daoukro
