Les Bureaux de la Banque mondiale à Abidjan ont abrité ce jeudi 21 septembre 2017, un Atelier sur le Code de Bonne Gouvernance, à l’initiative de la Société financière internationale (SFI) et de la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM).
Cet atelier s’inscrit dans le cadre du Programme de Gouvernance d’Entreprise d’IFC Afrique de l’Ouest et Maghreb dont l’objectif est d’aider à impulser l’investissement et les financements par le renforcement des pratiques de Gouvernance des entreprises, et en particulier, des entreprises cotées.
Le Directeur général de la BRVM, le Dr Edoh Kossi Amenounve a expliqué que le rôle de la Bourse n’est pas seulement de mobiliser l’épargne pour le financement de l’économie à long terme. Elle a également pour rôle de promouvoir la bonne gouvernance des sociétés cotées de sorte à inspirer confiance aux investisseurs. Si la gouvernance jusqu’ici avait été perçue sous l’angle de la prévention des risques de conflits entre les actionnaires et les dirigeants, il convient aujourd’hui d’y inclure l’aspect responsabilité sociétale et impact sur l’environnement de façon générale dans une économie, a estimé le Directeur général de la BRVM.
La Philosophie du code, les objectifs qui lui sont assignés ainsi que le mode de gouvernance du projet sont entre autres, les points discutés au cours de cet Atelier d’Abidjan. La SFI et la BRVM ont convenu de la signature prochaine d’une convention qui définira le cadre de travail. Ensuite place sera donnée aux travaux qui devront aboutir à l’élaboration du code de bonne gouvernance d’ici fin 2018, avant son adoption et sa mise en œuvre dès janvier 2019, a fait savoir le Directeur général de la BRVM.
La mise en œuvre d’un tel code aura pour conséquence de renforcer la confiance des investisseurs, créer de la richesse, accélérer la croissance et participer au développement durable des Etats, a insisté le Dr Edoh Kossi Amenounvé.
Moez Miaoui, Chargé Senior des Programmes de Gouvernance Afrique de l’Ouest et Maghreb, a quant à lui insisté sur la nécessité de la mise en œuvre dudit code. Toute chose qui aura, selon lui, pour avantages d’améliorer la transparence des entreprises cotées et créer un climat de confiance entre les parties prenantes qui interviennent dans la vie de l’entreprise.
Pour rappel, la capitalisation boursière des entreprises cotées dans la zone UEMOA représente autour de 20% du PNB.
Elisée B.
Cet atelier s’inscrit dans le cadre du Programme de Gouvernance d’Entreprise d’IFC Afrique de l’Ouest et Maghreb dont l’objectif est d’aider à impulser l’investissement et les financements par le renforcement des pratiques de Gouvernance des entreprises, et en particulier, des entreprises cotées.
Le Directeur général de la BRVM, le Dr Edoh Kossi Amenounve a expliqué que le rôle de la Bourse n’est pas seulement de mobiliser l’épargne pour le financement de l’économie à long terme. Elle a également pour rôle de promouvoir la bonne gouvernance des sociétés cotées de sorte à inspirer confiance aux investisseurs. Si la gouvernance jusqu’ici avait été perçue sous l’angle de la prévention des risques de conflits entre les actionnaires et les dirigeants, il convient aujourd’hui d’y inclure l’aspect responsabilité sociétale et impact sur l’environnement de façon générale dans une économie, a estimé le Directeur général de la BRVM.
La Philosophie du code, les objectifs qui lui sont assignés ainsi que le mode de gouvernance du projet sont entre autres, les points discutés au cours de cet Atelier d’Abidjan. La SFI et la BRVM ont convenu de la signature prochaine d’une convention qui définira le cadre de travail. Ensuite place sera donnée aux travaux qui devront aboutir à l’élaboration du code de bonne gouvernance d’ici fin 2018, avant son adoption et sa mise en œuvre dès janvier 2019, a fait savoir le Directeur général de la BRVM.
La mise en œuvre d’un tel code aura pour conséquence de renforcer la confiance des investisseurs, créer de la richesse, accélérer la croissance et participer au développement durable des Etats, a insisté le Dr Edoh Kossi Amenounvé.
Moez Miaoui, Chargé Senior des Programmes de Gouvernance Afrique de l’Ouest et Maghreb, a quant à lui insisté sur la nécessité de la mise en œuvre dudit code. Toute chose qui aura, selon lui, pour avantages d’améliorer la transparence des entreprises cotées et créer un climat de confiance entre les parties prenantes qui interviennent dans la vie de l’entreprise.
Pour rappel, la capitalisation boursière des entreprises cotées dans la zone UEMOA représente autour de 20% du PNB.
Elisée B.