Aussitôt ouvert, aussitôt calé. Le procès, tant attendu des présumés auteurs et co-auteurs du putsch manqué de septembre 2015 au Burkina Faso, dont l’instruction a été menée pendant deux (2) ans, n’est, en tout cas, pas allé loin.
A Ouagadougou, son renvoi sine die, après seulement 5 heures de débats, continue de faire couler beaucoup d’encre et de salive. Au moment où le parquet militaire, sous le feu des critiques, fait des pieds et des mains pour la reprise du procès, la Défense, elle, se renforce.
A la reprise, un nouveau visage parmi les avocats commis à la défense des intérêts du général Gilbert Diendéré va certainement se faire connaître dans la salle des banquets de Ouaga, où siège le Tribunal militaire du pays des hommes intègres. Il... suite de l'article sur L’Inter
A Ouagadougou, son renvoi sine die, après seulement 5 heures de débats, continue de faire couler beaucoup d’encre et de salive. Au moment où le parquet militaire, sous le feu des critiques, fait des pieds et des mains pour la reprise du procès, la Défense, elle, se renforce.
A la reprise, un nouveau visage parmi les avocats commis à la défense des intérêts du général Gilbert Diendéré va certainement se faire connaître dans la salle des banquets de Ouaga, où siège le Tribunal militaire du pays des hommes intègres. Il... suite de l'article sur L’Inter