Ces trois dernières années, des manifestations spontanées de colère ont agité plusieurs villes ivoiriennes. Si les raisons de la colère sont chaque fois différentes, ce sont souvent les symboles de l'État qui sont attaqués. Un remède existe face à cette défiance, née de la frustration sociale : sanctionner les mauvais gestionnaires de projets publics.
Tribune. Les images de l’émeute ont fait le tour des réseaux sociaux. L’une d’entre elle, devenue virale, est le symbole achevé de l’autorité bafouée : c’est celle du chapeau d’un gendarme ayant fui la vindicte de la foule. Il est accroché aux restes d’un arbre calciné et moqué par les passants. La scène se déroule à M’Bahiakro, le 6 mars dernier. Deux jours plus tôt, une jeune fille a été... suite de l'article sur Jeune Afrique
Tribune. Les images de l’émeute ont fait le tour des réseaux sociaux. L’une d’entre elle, devenue virale, est le symbole achevé de l’autorité bafouée : c’est celle du chapeau d’un gendarme ayant fui la vindicte de la foule. Il est accroché aux restes d’un arbre calciné et moqué par les passants. La scène se déroule à M’Bahiakro, le 6 mars dernier. Deux jours plus tôt, une jeune fille a été... suite de l'article sur Jeune Afrique