Abidjan - Une délégation ivoirienne conduite par la ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable (MINSEDD), Anne Désirée Ouloto, prendra part mardi, à Bamako, au Mali, à la table ronde du segment de haut niveau du dialogue structuré du Green Climate Fund (GCF) ou Fonds Vert pour le Climat (FVC).
Selon un communiqué du MINSEDD dont copie a été transmise lundi, à l’AIP, cette rencontre hautement stratégique prendra fin vendredi. Elle débutera par une session préparatoire, suivie d’un segment de haut niveau entre les ministres africains de l’Environnement et le Conseil d’Administration du Fonds Vert pour le Climat (FVC), stipule la note.
Une table ronde sera animée par la Côte d’Ivoire, le Mali, la Zambie, le Cameroun, l’Ethiopie et la République Démocratique du Congo, souligne le document.
Le dialogue structuré a pour objectif principal de faciliter les échanges et transferts de connaissances entre les pays et les différentes parties prenantes, afin d’améliorer la qualité du processus de programmation et de délivrer des résultats tangibles, dont un portefeuille de projets de haute qualité visant des objectifs à court, moyen et long terme, explique-t-on.
Le FVC, en tant que mécanisme financier principal, a été établi par la convention-cadre des Nations-Unies sur les changements climatiques (CCNUCC).
Pour renforcer la collaboration entre le FVC, les pays en développement et les entités accréditées, il est organisé la série des dialogues structurés, conformément au plan stratégique du FVC, des décisions de son Conseil d’Administration et de l’adoption de l’accord de Paris sur le Climat, précise-t-on.
gak/fmo
Selon un communiqué du MINSEDD dont copie a été transmise lundi, à l’AIP, cette rencontre hautement stratégique prendra fin vendredi. Elle débutera par une session préparatoire, suivie d’un segment de haut niveau entre les ministres africains de l’Environnement et le Conseil d’Administration du Fonds Vert pour le Climat (FVC), stipule la note.
Une table ronde sera animée par la Côte d’Ivoire, le Mali, la Zambie, le Cameroun, l’Ethiopie et la République Démocratique du Congo, souligne le document.
Le dialogue structuré a pour objectif principal de faciliter les échanges et transferts de connaissances entre les pays et les différentes parties prenantes, afin d’améliorer la qualité du processus de programmation et de délivrer des résultats tangibles, dont un portefeuille de projets de haute qualité visant des objectifs à court, moyen et long terme, explique-t-on.
Le FVC, en tant que mécanisme financier principal, a été établi par la convention-cadre des Nations-Unies sur les changements climatiques (CCNUCC).
Pour renforcer la collaboration entre le FVC, les pays en développement et les entités accréditées, il est organisé la série des dialogues structurés, conformément au plan stratégique du FVC, des décisions de son Conseil d’Administration et de l’adoption de l’accord de Paris sur le Climat, précise-t-on.
gak/fmo